Knowledge attitudes and practices of broiler farmers in Nouvelle-Aquitaine, about biosecurity during catching activity

Catching is a risky activity which represents people and vehicle movements between farms. In order to describe the level of biosecurity, forty broiler farmers have been investigated in Nouvelle-Aquitaine, on their knowledge attitudes and practices. A lack ok biosecurity has been notified, with notab...

Full description

Bibliographic Details
Main Author: Planchand, Sophie
Other Authors: Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse (ENVT), Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), Université de Toulouse (UT)-Université de Toulouse (UT), Université Toulouse III - Paul Sabatier (UT3), Université de Toulouse (UT), Mattias Delpont
Format: Master Thesis
Language:French
Published: HAL CCSD 2022
Subjects:
Online Access:https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03956173
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03956173/document
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03956173/file/T-2022-069.pdf
Description
Summary:Catching is a risky activity which represents people and vehicle movements between farms. In order to describe the level of biosecurity, forty broiler farmers have been investigated in Nouvelle-Aquitaine, on their knowledge attitudes and practices. A lack ok biosecurity has been notified, with notable weak points such as hand and shoe decontamination, and uniform changes. 35% of the breeders do not perceive any different risk between total and multiple catching, and biosecurity score is not different between them. Partial depopulation requires at least three interventions for 43% of the farmers, and go on meanly 3,8 days. Results show that almost all the breeders involve professional catchers (n=38), who have greater biosecurity score than relatives (n=9). Four clusters of breeders based on their knowledge and attitudes have been defined, but there is not any statistical difference in their biosecurity score. L’attrapage est une étape à risque car elle représente un flux de personnes et de véhicules. Afin d’y décrire l’état de biosécurité, quarante éleveurs de poulets ont été enquêtés en région Nouvelle-Aquitaine, sur leurs connaissances attitudes et pratiques. Un défaut d’observance a été révélé, avec des points faibles sur la décontamination des mains et chaussures, et sur le changement de tenue. 35% des éleveurs ne perçoivent pas de différence de risque entre un ramassage total et multiple, et aucune différence du niveau de biosécurité n’a été observée entre ces deux situations. Les enlèvements multiples nécessitent dans 43% des cas au moins trois chantiers, et s’étalent en moyenne sur 3,8 jours. Presque tous les éleveurs font appel à des attrapeurs professionnels (n=38), qui ont une meilleure biosécurité que les proches (n=9). Quatre profils d’éleveurs ont été identifiés sur la base de leurs connaissances et attitudes, mais aucune différence de biosécurité n’a été révélée entre eux.