Le motif populaire du volcan dans le film catastrophe

https://antiquipop.hypotheses.org/ La multiplication des films-catastrophe sur les volcans depuis les années 2000, qu’il s’agisse de blockbusters avec surenchère d’effets comme dans le film Pompeii sorti en 2014 ou de films naturalistes usant d’images documentaires comme Godland (Vanskabte Land) en...

Full description

Bibliographic Details
Main Author: Lambert, Frédérique
Other Authors: Histoire des Arts et des Représentations (HAR), Université Paris Nanterre (UPN), Laboratoire Interdisciplinaire Récits, Cultures et Sociétés (LIRCES), Université Nice Sophia Antipolis (1965 - 2019) (UNS)-Université Côte d'Azur (UniCA)
Format: Other/Unknown Material
Language:French
Published: HAL CCSD 2023
Subjects:
Online Access:https://hal.parisnanterre.fr/hal-04484583
https://doi.org/10.58079/vejd
Description
Summary:https://antiquipop.hypotheses.org/ La multiplication des films-catastrophe sur les volcans depuis les années 2000, qu’il s’agisse de blockbusters avec surenchère d’effets comme dans le film Pompeii sorti en 2014 ou de films naturalistes usant d’images documentaires comme Godland (Vanskabte Land) en 2022 interroge à l’heure de la standardisation des effets visuels et de préoccupations écologiques visant le retour à la nature. La présence du volcan à l’écran des années 2000 à 2022 représente une petite quinzaine de films (selon des sites internet spécialisés comme Sens Critique ou Cinétrafic) comprenant Ginostra (Manuel Pradal, 2002), Un coup de tonnerre (Peter Hyams, 2005), Pterodactyl (Mark L. Lester, 2005), Nim’s Island (Jennifer Flackett, Mark Levin, 2008), Journey to the Center of the Earth (Eric Brevig, 2008), Under the mountain (Jonathan King, 2009), 2012 (Roland Emmerich, 2009), Eyjafjallajökull (Alexandre Coffre, 2013), Pompeii (Paul W. S. Anderson, 2014), Apocalypse Pompeii (Ben Demaree, 2014), Skyfire (天·火, Simon West, 2019), Destruction finale (백두산 , Kim Byeong-seo et Lee Hae-joon, 2019), La Nature (Artavazd Pelechian, 2020), Godland (Vanskabte Land, Hlynur Pálmason, 2022).