Summary: | International audience Le numéro 49 d’Astrolabe, la revue en ligne du CRLV, vient d’être mis en ligne (avril 2020) : https://astrolabe.msh.uca.fr/captain-cook-after-250-years-re-exploring-voyages-james-cook-avril-2020Les voyages du capitaine James Cook (1768-1779) sont au programme de l’agrégation d’anglais en 2020 : c’est l’occasion de revenir aux textes de journaux et aux multiples questions que soulèvent ces textes, comme le lien entre les voyages de Cook, la découverte de nouveaux territoires et la cartographie l’impact historique des découvertes de Cook le rôle et l’impact des voyages dans la construction de l’empire britannique d’autres voyages d’exploration qui ont eu lieu dans les années 1770, tels que le voyage de Joseph Banks en Islande en passant par les Hébrides en 1772 ou celui de Bougainville, en France, qui entreprit son tour du monde en 1766 et publia son Voyage autour du monde en 1771 l’influence des discours coloniaux et des objectifs économiques des expéditions maritimes la prise de conscience que le capitalisme et le mercantilisme n’étaient possibles qu’en s’emparant de la richesse à l’étranger le développement du commerce extérieur le statut des voyageurs (géographes ? scientifiques ? ethnographes ? écrivains ?) les dimensions technologiques et scientifiques des expéditions de Cook les différents types de personnes à bord : botanistes, naturalistes, scientifiques, artistes, etc. la biographie de Cook lui-même, réécrite dans le contexte des grands voyages et de l’histoire ultramarine de la Grande-Bretagne les dimensions esthétiques et littéraires des Journaux de Cook : par exemple, William Hodges, artiste qui accompagnait James Cook lors de son deuxième voyage, était l’auteur de nombreux dessins et toiles tels que « Vue de la baie d’Oaite Peha Otaheite » (1773), car ses œuvres se devaient d’être très précises en tant que documents géographiques, mais elles avaient aussi une dimension esthétique les débats philosophiques autour de l’idée du « bon sauvage » en ...
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