A la recherche des langues perdues.
La réputation de l’INALCO s’est construite sur l’éventail monumental de langues que l’institut propose. Des 93 langues enseignées, seules quelques-unes (japonais, chinois, coréen, arabe, russe) prennent le devant de la scène de par le nombre de leurs étudiants et la multitude d’événements qui leur s...
Main Authors: | , , , , , , , , , , |
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Other Authors: | , , , |
Format: | Other/Unknown Material |
Language: | French |
Published: |
HAL CCSD
2014
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Subjects: | |
Online Access: | https://hal.campus-aar.fr/medihal-01635797 https://hal.campus-aar.fr/medihal-01635797/document https://hal.campus-aar.fr/medihal-01635797/file/2013_recherche_langues_perdues.mp4 |
Summary: | La réputation de l’INALCO s’est construite sur l’éventail monumental de langues que l’institut propose. Des 93 langues enseignées, seules quelques-unes (japonais, chinois, coréen, arabe, russe) prennent le devant de la scène de par le nombre de leurs étudiants et la multitude d’événements qui leur sont consacrés. Qu’en est-il donc du peul, du wolof, du télougou ou du macédonien ? Ce petit documentaire tente de mettre en lumière ces langues rares à petits effectifs. La préservation de ces langues est un enjeu important : l’INALCO serait le dernier établissement au monde à proposer l’enseignement du maya une enseignante d’inuktitut de l’INALCO se révèle être une aide précieuse pour des travailleurs canadiens, à qui elle enseigne à distance afin de leur permettre de dialoguer avec les populations Inuit locales. « A la recherche des langues perdues » propose donc de découvrir ces langues rares en partant à la rencontre des enseignants et des étudiants. Alors que les derniers révèlent leurs raisons pour étudier ces langues, leurs motivations, et leur quotidien les enseignants également réfléchissent à la place de la langue qu'ils enseignent ainsi que les enjeux qu'il y a à étudier des langues étrangères, parfois aussi petites que les leurs. |
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