Double Brooding by the Northern Wheatear on Baffin Island

Most Arctic-breeding passerines raise a single brood in a season, presumably because the short Arctic summer does not provide sufficient time to raise a second brood. Here we document the first cases of two broods being raised or attempted, after successful fledging of a first brood, in an Arctic-br...

Full description

Bibliographic Details
Published in:ARCTIC
Main Authors: Hussell, David J.T., Bairlein, Franz, Dunn, Erica H.
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:English
Published: The Arctic Institute of North America 2014
Subjects:
Online Access:https://journalhosting.ucalgary.ca/index.php/arctic/article/view/67432
Description
Summary:Most Arctic-breeding passerines raise a single brood in a season, presumably because the short Arctic summer does not provide sufficient time to raise a second brood. Here we document the first cases of two broods being raised or attempted, after successful fledging of a first brood, in an Arctic-breeding population of Northern Wheatears Oenanthe oenanthe, at Iqaluit, Nunavut, Canada, in 2010 and 2011. In one case, the same pair was involved in raising both broods. In a second case, the female that raised the first brood was mated to a different male for her second brood. In a third case, it was not known whether the same male was involved in a female’s attempts to raise two broods. The three females that attempted to raise two broods started their first clutches four to six days earlier than the estimated median date of laying first eggs and represented about 6% of all females in the study population. Potential constraints on raising two broods include not only the shortness of the summer season but also the nature and abundance of the food supply, trade-offs between the success of the first brood and that of the second brood, and effects of the one- and two-brood strategies on the survival and future reproductive output of the adults. La plupart des passereaux nicheurs de l’Arctique n’élèvent qu’une nichée par saison, vraisemblablement parce l’été est trop court dans l’Arctique, ce qui ne laisse pas de temps pour une deuxième nichée. Ici, nous décrivons les premiers cas pour lesquels deux nichées ont été élevées ou tentées d’être élevées, après le succès d’envol de la première nichée chez une population de traquets motteux (Oenanthe oenanthe) nichant dans l’Arctique, à Iqaluit, au Nunavut, Canada, en 2010 et en 2011. Dans un des cas, le même couple d’oiseaux a élevé les deux nichées. Dans un deuxième cas, la femelle qui a élevé la première nichée a eu sa deuxième nichée avec un autre mâle. Dans un troisième cas, nous ne savons pas si le mâle était le même pour les deux nichées. Les trois femelles qui ont essayé d’élever deux nichées ont fait leur première ponte de quatre à six jours plus tôt que la date médiane estimée de ponte des premiers oeufs, ce qui a représenté environ 6 % de toutes les femelles à l’étude. Parmi les contraintes auxquelles font face les femelles qui tentent d’élever deux nichées, notons non seulement les courts étés, mais aussi la nature et l’abondance des approvisionnements alimentaires, les concessions mutuelles entre le succès de la première nichée et celui de la deuxième nichée, et les effets des stratégies d’une nichée ou de deux nichées sur la survie et l’efficacité de la reproduction future des adultes.