Arctic Cod (Boreogadus saida) as Prey: Fish Length-Energetics Relationships in the Beaufort Sea and Hudson Bay

Although Arctic cod (Boreogadus saida) is widely recognized as an important trophic link to top predators in Arctic marine ecosystems, the challenges of conducting fieldwork in the Arctic make this species difficult to study. We establish some basic relationships to improve prey energetics modeling...

Full description

Bibliographic Details
Published in:ARCTIC
Main Authors: Harter, B. Britten, Elliott, Kyle H., Divoky, George J., Davoren, Gail K.
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:English
Published: The Arctic Institute of North America 2013
Subjects:
Online Access:https://journalhosting.ucalgary.ca/index.php/arctic/article/view/67337
Description
Summary:Although Arctic cod (Boreogadus saida) is widely recognized as an important trophic link to top predators in Arctic marine ecosystems, the challenges of conducting fieldwork in the Arctic make this species difficult to study. We establish some basic relationships to improve prey energetics modeling when only in-field parameters (e.g., fork length) can be measured. We investigated the intraspecific relationships among energy density, fork length, mass, and water content for Arctic cod captured by Black Guillemots and Thick-billed Murres at two sites (Western Beaufort and Hudson Bay). Dry energy density was similar between sites (21.6 – 22.2 kJ g-1) and increased with fork length (Dry EDkJ/g = 0.028 (± 0.01) • Fork Lengthmm + 18.12 (± 1.33). Even though fish lost some water as they were transported to the nest by avian predators, wet energy density also increased with fork length. We suggest that environmental conditions had a similar effect on growth at these two locations although they occur in very different oceanographic regimes. Arctic cod, especially large cod, is one of the most energy-rich prey species in the Arctic. Our results highlight the importance of this valuable prey to Arctic ecosystems and the utility of using seabirds opportunistically as samplers of the marine environment. Même si la morue polaire (Boreogadus saida) est grandement reconnue comme un lien trophique important pour les prédateurs situés en bout de chaîne des écosystèmes marins de l’Arctique, cette espèce est difficile à étudier en raison des défis inhérents à la réalisation de travaux sur le terrain dans l’Arctique. Nous établissons des relations de base afin d’améliorer la modélisation de la valeur énergétique des proies lorsque seuls des paramètres sur le terrain (comme la longueur à la fourche) peuvent être mesurés. Nous avons étudié les relations intraspécifiques qui existent entre la densité d’énergie, la longueur à la fourche, la masse et la teneur en eau de la morue polaire capturée par le guillemot à miroir et le guillemot de Brünnich à deux sites (ouest de Beaufort et baie d’Hudson). La densité d’énergie sèche était semblable entre les sites (21,6 – 22,2 kJ g-1) et augmentait en fonction de la longueur à la fourche (DE sèche EDkJ/g = 0,028 (± 0,01) • longueur à la fourchemm + 18,12(± 1,33). Même si les poissons perdaient de l’eau pendant le transport jusqu’au nid par les oiseaux prédateurs, la densité d’énergie humide augmentait également en fonction de la longueur à la fourche. Nous suggérons que les conditions environnementales avaient un effet similaire sur la croissance à ces deux sites même s’ils se trouvent dans des régimes océanographiques très différents. La morue polaire, surtout celle de grande taille, est l’une des espèces proies les plus riches en énergie de l’Arctique. Nos résultats mettent en évidence l’importance de cette précieuse proie pour les écosystèmes de l’Arctique et l’utilité de se servir des oiseaux de mer de manière opportuniste en guise d’échantillonneurs de l’environnement marin.