Parental Care and Adult Aggression toward Juvenile Snowshoe Hares

The early life of the snowshoe hare was studied through observations and experiments involving penned and wild hares. Parental care was limited to the adult female. Her care extended only to lactation and possibly to some guarding of her offspring. The leverets gathered at the birth/nursing site 1-2...

Full description

Bibliographic Details
Published in:ARCTIC
Main Authors: Graf, R.P., Sinclair, A.R.E.
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:English
Published: The Arctic Institute of North America 1987
Subjects:
Online Access:https://journalhosting.ucalgary.ca/index.php/arctic/article/view/64817
Description
Summary:The early life of the snowshoe hare was studied through observations and experiments involving penned and wild hares. Parental care was limited to the adult female. Her care extended only to lactation and possibly to some guarding of her offspring. The leverets gathered at the birth/nursing site 1-2 hours after sunset and suckled immediately upon the arrival of the female for 2-5 minutes. The leverets born in the pens gained 17.1 g per day for the first 60 days of life. Weaned juveniles caught in the wild were introduced into a pen containing resident adults and juveniles. All 30 introduced juveniles were involved in interactions with residents, both adults and juveniles. The introduced juveniles were involved in and were the losers in more antagonistic interactions than were resident juveniles. Similar adult/juvenile and juvenile/juvenile interactions were observed in an unmanipulated wild population of hares, although the residential status of many of the participants was unknown. We concluded that aggression from resident adults and juveniles could lead to spacing behaviour and might therefore affect juvenile recruitment.Key words: Lepus americanus, snowshoe hare, spacing behaviour, dispersal, aggression, lactation On a étudié les premiers mois de la vie du lièvre d'Amérique en faisant des observations et des expériences sur les lièvres parqués dans des enclos et sur d'autres vivant à l'état sauvage. La femelle adulte était seule à s'occuper des petits, et les soins qu'elle leur donnait se limitaient à la tétée et peut-être à une certaine surveillance. Les levrauts commençaient à se rassembler au lieu de leur naissance et des tétées de une à deux heures après le coucher du soleil, et ils tétaient de 2 à 5 mm, dès l'arrivée de la femelle. Les levrauts nés dans les enclos gagnaient 17,1 g quotidiennement pendant leurs 60 premiers jours.Des jeunes sevrés et capturés dans la nature ont été introduits dans un enclos où se trouvaient déjà des adultes et des petits. Les 30 jeunes introduits ont tous été impliqués dans des interactions avec les résidents aussi bien les adultes que les petits. Les jeunes introduits ont été impliqués dans plus d'interactions agressives que les petits déjà dans l'enclos, et ils en sont sortis plus souvent perdants. Sans toutefois connaître le statut d'appartenance de beaucoup des membres, on a observé des interactions similaires entre les adultes et les jeunes et entre les jeunes eux-mêmes dans une population de lièvres vivant à l'état sauvage et n'ayant pas été en contact avec l'homme. On conclut que l'agression des adultes et des petits du groupe peut conduire à un comportement de distanciation et pourrait donc affecter le taux de reproduction.Mots clés: Lepus Americanus, lièvre d'Amérique, comportement de distanciation, éparpillement, agression, lactation