Distribution of Stream Macroalgae in Four High Arctic Drainage Basins

Eighty-three stream reaches were sampled from four drainage basins in the central portions of Axel Heiberg and Ellesmere Islands. The stream included small snowmelt tributaries, those flowing through wetlands, pond outflows, glacial meltwaters, and large trunk rivers, some of which had become braide...

Full description

Bibliographic Details
Published in:ARCTIC
Main Authors: Sheath, Robert G., Müller, Kirsten M.
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:English
Published: The Arctic Institute of North America 1997
Subjects:
Online Access:https://journalhosting.ucalgary.ca/index.php/arctic/article/view/64173
Description
Summary:Eighty-three stream reaches were sampled from four drainage basins in the central portions of Axel Heiberg and Ellesmere Islands. The stream included small snowmelt tributaries, those flowing through wetlands, pond outflows, glacial meltwaters, and large trunk rivers, some of which had become braided in their lower portions. Larger channels tended to be quite turbid, and macroscopic algae were negligible in these reaches because they lack adequate light and hard substrata for attachment. The overall stream macroalgal flora was relatively small (15 species) compared to that of other regions of the North American tundra. Cyanobacteria and Chlorophyta accounted for all but one species. The most widespread species was the colonial cyanobacterium, Nostoc commune. Only Scytonema mirabile (Cyanophyta) was a new addition to the stream macroalgal flora of arctic North America. The numbers of species per stream reach ranged from 0 to 5, with a mean of 1.3. The amount of stream bottom covered by macroalgae was 0 to 75%, with an average of ca. 5%. Both species number and percent cover per reach are relatively low. On a procédé à des échantillonnages de 83 tronçons de cours d'eau situés dans quatre bassins de drainage au centre de l'île Axel Heiberg et de l'île d'Ellesmere. Les cours d'eau comprenaient de petits affluents alimentés par la fusion nivale, ceux qui traversaient des terres humides, des émissaires d'étangs, des eaux de fonte glaciaires et d'importants cours d'eau principaux, dont certains étaient devenus anastomosés en aval. Les chenaux larges avaient tendance à être relativement troubles et on ne trouvait que peu d'algues macroscopiques dans ces tronçons en raison du manque de lumière adéquat et des substrats de soutien. La flore macroalgale globale des cours d'eau était assez réduite (15 espèces) par rapport à celle d'autres régions de la toundra nord-américaine. Toutes les espèces sauf une appartenaient aux cyanobactéries et aux chlorophycées. L'espèce la plus répandue était la cyanobactérie coloniale, Nostoc commune. Seule Scytonema mirabile (cyanophycée) était une nouveauté dans la flore macroalgale de l'Arctique nord-américain. Le nombre d'espèces par cours d'eau allait de 0 à 5, avec une moyenne de 1,3. De 0 à 75 p. cent de la superficie du fond des cours d'eau était couverte par les macroalgues, avec une moyenne d'environ 5 p. cent. Le nombre d'espèces comme le pourcentage de leur couverture par tronçon étaient relativement bas.