Wader Population Censuses in the Arctic: Getting the Timing Right

There is increasing evidence that breeding wader censuses often have significantly underestimated densities in the Arctic and other areas. This evidence includes the recording of many more red knots, Calidris canutus, in the West Palearctic and African wintering areas than can be accounted for on th...

Full description

Bibliographic Details
Published in:ARCTIC
Main Author: Meltofte, Hans
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:English
Published: The Arctic Institute of North America 2001
Subjects:
Online Access:https://journalhosting.ucalgary.ca/index.php/arctic/article/view/63851
Description
Summary:There is increasing evidence that breeding wader censuses often have significantly underestimated densities in the Arctic and other areas. This evidence includes the recording of many more red knots, Calidris canutus, in the West Palearctic and African wintering areas than can be accounted for on the Arctic breeding grounds. The main causes of underestimated breeding numbers are that many species behave very inconspicuously during incubation, when most censuses have been performed, and that censuses taken later, during the chick-rearing period, record only successful breeding attempts. Records of four seasons at Zackenberg in central Northeast Greenland suggest that in the Arctic, the best population density data are obtained by mapping pairs and territorial individuals during the pair formation, territory establishment, and egg-laying periods, that is, when all birds are present and easiest to record. Revised summer population estimates for Old World wintering Nearctic waders are 20-200% higher than previous estimates. On a de plus en plus de preuves que les recensements d'échassiers nicheurs ont souvent largement sous-estimé les densités dans l'Arctique et dans d'autres régions. Ces preuves comprennent le fait que l'on recense beaucoup plus de bécasseaux maubèches, Calidris canatus, dans les aires d'hivernage du paléarctique occidental et d'Afrique que l'on ne peut en compter sur les lieux de reproduction dans l'Arctique. Les principales raisons de cette sous-estimation sur les lieux de reproduction sont que bien des espèces ont un comportement peu visible pendant l'incubation, c'est-à-dire au moment où sont effectués la plupart des recensements, et que ceux faits plus tard, durant la période d'élevage des poussins, ne comptent que les tentatives de reproduction réussies. Les relevés effectués au cours de quatre saisons à Zackenberg, dans la région centrale du nord-est du Groenland, suggèrent que, dans l'Arctique, les meilleures données sur la densité de population sont obtenues en notant les paires et les individus territoriaux durant la formation des paires, l'établissement du territoire et la période de ponte, c'est-à-dire quand tous les oiseaux sont présents et le plus facile à compter. Les estimations révisées des populations estivales pour les échassiers néarctiques hivernant dans l'Ancien Monde sont de 20 à 200 p. cent plus élevées que les estimations précédentes.