Dive Behaviour of Belugas (Delphinapterus leucas) in the Shallow Waters of Western Hudson Bay

Beluga diving was studied in western Hudson Bay, where the preferred habitat of this whale in summer is shallow coastal waters. No relationship was found between the duration of a dive and the surface interval either preceding or following it. During rare periods of intense diving, 77% of an average...

Full description

Bibliographic Details
Published in:ARCTIC
Main Authors: Martin, A.R., Hall, P., Richard, P.R.
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:English
Published: The Arctic Institute of North America 2001
Subjects:
Online Access:https://journalhosting.ucalgary.ca/index.php/arctic/article/view/63844
Description
Summary:Beluga diving was studied in western Hudson Bay, where the preferred habitat of this whale in summer is shallow coastal waters. No relationship was found between the duration of a dive and the surface interval either preceding or following it. During rare periods of intense diving, 77% of an average dive cycle was spent below the water surface. Only in waters deeper than 25 m did any whale spend more than half its time below the surface zone; in rivers, less than 15% of the time was spent at depths of 4 m or more. The frequency of long dives increased with water depth. Maximum dive duration was 15.6 min. Dives to depths of 25 m or less were of variable duration and time-depth profile; most dives exceeding 50 m had a square profile and reached the seabed. The easterly migration in early September took the whales into water deeper than 100 m for the first time in several months, and they dived frequently to the bottom during this period. No clear difference in dive capability was found between western Hudson Bay belugas and those that inhabit deeper waters farther north. The preference of this population for shallow water in summer is not dictated by an inability to dive to greater depths; belugas can utilize benthic resources throughout Hudson Bay. On a étudié le bélouga en plongée dans l'ouest de la baie d'Hudson, où les eaux littorales peu profondes constituent l'habitat estival préféré de cette baleine. On n'a trouvé aucun lien entre la durée de la plongée et l'intervalle passé en surface qui la précède ou la suit. Durant les rares périodes de plongée intense, 77 p. cent d'un cycle moyen de plongée se déroulait sous la surface de l'eau. C'est seulement dans les eaux dont la profondeur était supérieure à 25 m que les baleines passaient plus de la moitié du temps sous la zone en surface; dans les cours d'eau, moins de 15 p. cent du temps se passait à des profondeurs de 4 m ou plus. La fréquence des longues plongées augmentait avec la profondeur de l'eau. La durée maximale de la plongée était de 15,6 mn. Les plongées à des profondeurs de moins de 25 m avaient une durée et un profil durée-profondeur variables; la plupart des plongées dépassant les 50 m avaient un profil carré et atteignaient le fond marin. Au début septembre, la migration vers l'est amenait les baleines dans des eaux dont la profondeur excédait 100 m pour la première fois depuis plusieurs mois et, durant cette période, elles plongeaient souvent en atteignant le fond. On n'a pas trouvé de différence nette dans la capacité à plonger entre les bélougas de l'ouest de la baie d'Hudson et ceux qui habitent les eaux plus profondes plus au nord. Ce n'est pas une incapacité à plonger à de plus grandes profondeurs qui dicte la préférence estivale de cette population de bélougas pour l'eau peu profonde; ils peuvent utiliser les ressources benthiques dans l'ensemble de la baie d'Hudson.