Population Viability of Barren-ground Grizzly Bears in Nunavut and the Northwest Territories

We modelled probabilities of population decline as a function of annual kill for a population of barren-ground grizzly bears (Ursus arctos) inhabiting Nunavut and the Northwest Territories, Canada. Our results suggest that the population is at risk of decline, especially if annual removal rates incr...

Full description

Bibliographic Details
Published in:ARCTIC
Main Authors: McLoughlin, Philip D., Taylor, Mitchell K., Cluff, H. Dean, Gau, Robert J., Mulders, Robert, Case, Ray L., Messier, François
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:English
Published: The Arctic Institute of North America 2003
Subjects:
PVA
Online Access:https://journalhosting.ucalgary.ca/index.php/arctic/article/view/63673
Description
Summary:We modelled probabilities of population decline as a function of annual kill for a population of barren-ground grizzly bears (Ursus arctos) inhabiting Nunavut and the Northwest Territories, Canada. Our results suggest that the population is at risk of decline, especially if annual removal rates increase from the 42-year mean of 13.4 bears per year. Adding six bears to the mean annual kill results in a greater than 40% chance of a decrease by one-quarter in population size over the next 50 years, compared to a 10% chance with the current level of human-caused mortality. Additional mortalities may result from increased problem behaviour by bears at mine sites or hunt and exploration camps, given recent increases in human activity in the region, and may already be present as unreported mortality. We believe any increase in current harvest quotas would considerably lessen conservation prospects for the population. On a simulé les probabilités de baisse de la population en fonction du prélèvement annuel dans le cadre de la chasse pour une population de grizzlis de la toundra (Ursus arctos) habitant le Nunavut et les Territoires du Nord-Ouest, au Canada. Nos résultats suggèrent que la population risque de décliner, surtout si les taux de prélèvement augmentent par rapport à la moyenne établie sur 42 ans qui est de 13,4 ours par an. Le fait d'ajouter 6 ours au prélèvement de chasse annuel augmente à plus de 40 % le risque que la population décline d'un quart au cours des prochains 50 ans, par rapport à 10 % dans le cas du niveau actuel de mortalité provoquée par les humains. Vu l'augmentation récente de l'activité anthropique dans la région, d'autres individus pourraient être abattus à cause du nombre croissant de comportements problématiques des ours résidant à des sites miniers et à des campements d'exploration, et il est possible que ce phénomène existe déjà mais que les morts ne soient pas rapportées. Notre opinion est que toute augmentation des quotas actuels de prélèvement réduirait considérablement les perspectives de conservation pour la population.