Extratropical Cyclones and Precipitation within the Canadian Archipelago during the Cold Season

Extratropical cyclones produce much of the precipitation over the Arctic, but the details of this cause-effect relationship are not well documented. In this study, we examined extratropical cyclones within the Canadian Archipelago, a subregion of the Arctic, over the period 1948– 97. Using data from...

Full description

Bibliographic Details
Published in:ARCTIC
Main Authors: Intihar, Matthew R., Stewart, Ronald E.
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:English
Published: The Arctic Institute of North America 2010
Subjects:
Online Access:https://journalhosting.ucalgary.ca/index.php/arctic/article/view/63469
Description
Summary:Extratropical cyclones produce much of the precipitation over the Arctic, but the details of this cause-effect relationship are not well documented. In this study, we examined extratropical cyclones within the Canadian Archipelago, a subregion of the Arctic, over the period 1948– 97. Using data from the Historical Canadian Climate Data (HCCD), the U.S. National Climate Center (UNCC), and the European Meteorological Bulletin (EMB), we assessed the relationship between extratropical cyclones and cold-season snowfall (October–April) for 10 events at each of 11 surface stations within the region. These events were relatively brief (72 h or less), but resulted in precipitation totals that exceeded the average monthly amount. At each station, within the 10 most extreme precipitation months of the 50-year study period, we often found a single event that accounted for approximately one-third of the total snowfall in that month. For sites located in the southeastern Archipelago, eventrelated storms typically approached from the southeast, whereas southwestern sites were affected by southwesterly storms, and northwestern sites, by northwesterly storms. In many cases, cyclone dissipation occurred within 24 h of the event’s conclusion. Precipitation analyses in this study were considerably affected by snowfall undercatchment; the magnitude of this effect needs further examination in future studies. However, the identification of extreme events and related storm tracks appears to be relatively unaffected by the lack of corrected precipitation data. Les cyclones extratropicaux sont responsables d’une grande partie des précipitations dans l’Arctique, mais les détails de cette relation de cause à effet ne sont pas bien documentés. Nous nous penchons, dans cette étude, sur les cyclones extratropicaux au sein de l’archipel Canadien, une sous-région de l’Arctique, au cours de la période allant de 1948 à 1997. À l’aide de données tirées de la Base de données climatiques historiques du Canada (HCCD), du National Climate Center (UNCC) américain et du Bulletin Météorologique Européen (BME), on a évalué la relation entre les cyclones extratropicaux et les chutes de neige en saison froide (d’octobre à avril) pour 10 événements s’étant produits à chacune de 11 stations de surface dans la région. Ces événements avaient une durée relativement courte (72 h ou moins), mais ils provoquaient des précipitations totalisant plus que la moyenne mensuelle. À chaque station, au cours des 10 mois de précipitations les plus intenses sur les 50 ans de la période d’étude, on a souvent trouvé un seul événement qui comptait pour environ un tiers du total de l’apport neigeux pour ce mois. Pour les emplacements situés dans la partie sud-est de l’archipel, les tempêtes reliées aux événements venaient d’ordinaire du sud-est, tandis que ceux du sud-ouest étaient touchés par les tempêtes dues aux vents du sud-ouest, et ceux du nord-ouest, par les tempêtes dues aux vents du nord-ouest. Dans bien des cas, le cyclone se dissipait dans les 24 h suivant la fin du phénomène. Dans cette étude, les analyses de précipitations étaient considérablement influencées par une sous-estimation de l’apport neigeux; il faudrait étudier plus à fond l’importance de cet effet dans des recherches ultérieures. L’identification d’événements extrêmes et des trajectoires de tempêtes qui y sont associées semble relativement insensible au manque de données hyétométriques rectifiées.