Comparing Maps of Mean Monthly Surface Temperature and Precipitation for Alaska and Adjacent Areas of Canada Produced by Two Different Methods

Maps of mean monthly surface temperature and precipitation for Alaska and adjacent areas of Canada, produced by Oregon State University’s Spatial Climate Analysis Service (SCAS) and the Alaska Geospatial Data Clearinghouse (AGDC), were analyzed. Because both sets of maps are generally available and...

Full description

Bibliographic Details
Published in:ARCTIC
Main Authors: Simpson, James J., Hufford, Gary L., Daly, Christopher, Berg, Jared S., Fleming, Michael D.
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:English
Published: The Arctic Institute of North America 2010
Subjects:
Online Access:https://journalhosting.ucalgary.ca/index.php/arctic/article/view/63468
Description
Summary:Maps of mean monthly surface temperature and precipitation for Alaska and adjacent areas of Canada, produced by Oregon State University’s Spatial Climate Analysis Service (SCAS) and the Alaska Geospatial Data Clearinghouse (AGDC), were analyzed. Because both sets of maps are generally available and in use by the community, there is a need to document differences between the processes and input data sets used by the two groups to produce their respective set of maps and to identify similarities and differences between the two sets of maps and possible reasons for the differences. These differences do not affect the observed large-scale patterns of seasonal and annual variability. Alaska is divided into interior and coastal zones, with consistent but different variability, separated by a transition region. The transition region has high interannual variability but low long-term mean variability. Both data sets support the four major ecosystems and ecosystem transition zone identified in our earlier work. Differences between the two sets of maps do occur, however, on the regional scale; they reflect differences in physiographic domains and in the treatment of these domains by the two groups (AGDC, SCAS). These differences also provide guidance for an improved observational network for Alaska. On the basis of validation with independent in situ data, we conclude that the data set produced by SCAS provides the best spatial coverage of Alaskan long-term mean monthly surface temperature and precipitation currently available. On a analysé des cartes représentant les moyennes mensuelles des précipitations et des températures de l’air en surface pour l’Alaska et les zones contiguës du Canada. Ces cartes avaient été établies par le service d’analyse du climat spatial (SCAS) de l’université de l’Oregon et le centre d’échange de données géospatiales de l’Alaska (AGDC). Vu qu’en général le public peut se procurer les deux ensembles de cartes et qu’il les utilise, il est nécessaire de documenter les différences entre les processus et les jeux de données d’entrée utilisés par les deux groupes pour créer leur propre ensemble de cartes, ainsi que de dégager les similarités et les différences entre les deux ensembles de cartes et les raisons possibles de ces différences. Ces dernières n’affectent pas les schémas de variabilité saisonnière et annuelle observés à grande échelle. L’Alaska est divisé en zones intérieures et zones côtières, possédant une variabilité constante mais différente, séparées par une région de transition. Celle-ci possède une grande variabilité interannuelle mais une faible variabilité à long terme de la moyenne. Les deux jeux de données sont compatibles avec les quatre grands écosystèmes et leurs zones de transition que nous avions identifiés dans nos travaux antérieurs. Il y a cependant des différences à l’échelle régionale entre les deux ensembles de cartes; elles témoignent de différences dans les domaines physiographiques et dans le traitement que font les deux groupes (AGDC et SCAS) de ces domaines. Ces différences offrent également une piste pour l’établissement d’un réseau d’observation amélioré pour l’Alaska. En nous basant sur une validation fondée sur des données indépendantes recueillies in situ, nous concluons que le jeu de données produit par SCAS représente actuellement la meilleure couverture spatiale disponible pour les moyennes mensuelles à long terme des précipitations et des températures de l’air en surface en Alaska.