Breeding Season Survival of Female Lesser Scaup in the Northern Boreal Forest

One hypothesis advanced to explain the decline in lesser scaup (Aythya affinis) populations during the past 20 years is that adult female survival has decreased. However, no survival probability estimates exist for the boreal forest, the region where most scaup breed. We captured and radio-marked fe...

Full description

Bibliographic Details
Published in:ARCTIC
Main Authors: Brook, Rodney K., Clark, Robert G.
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:English
Published: The Arctic Institute of North America 2010
Subjects:
Online Access:https://journalhosting.ucalgary.ca/index.php/arctic/article/view/63445
Description
Summary:One hypothesis advanced to explain the decline in lesser scaup (Aythya affinis) populations during the past 20 years is that adult female survival has decreased. However, no survival probability estimates exist for the boreal forest, the region where most scaup breed. We captured and radio-marked female lesser scaup (n = 42) near Yellowknife, Northwest Territories, Canada, just before the breeding season in 1999 and 2000. Constant weekly survival probability was estimated using a Cormack-Jolly- Seber model (0.96). We extrapolate this rate to estimate survival probability for the nesting season (0.80, SE = 0.09), the period when females are at greatest risk of predation. Recent estimates of annual mortality (42%) suggest that about 50% of annual female mortality occurs during the breeding season, a result similar to recent conclusions from studies of prairie-nesting lesser scaup. Further, our survival estimate provides information required to produce preliminary models of population dynamics for boreal lesser scaup, a step that could greatly improve our understanding of decline in this species. Une hypothèse qui a été avancée pour expliquer le déclin des populations du petit fuligule (Aythya affinis) au cours des 20 dernières années est que la survie de la femelle adulte a baissé. Il n’existe cependant aucune estimation de la probabilité de survie pour la forêt boréale, région où se reproduisent la plupart des fuligules. Juste avant la saison de reproduction en 1999 et 2000, on a capturé, près de Yellowknife dans les Territoires du Nord-Ouest, des fuligules femelles (n = 42) qu’on a équipées de radio-émetteurs. À l’aide du modèle de Cormack-Jolly-Seber, on a estimé la probabilité de survie hebdomadaire (0,96) sur une base constante. On a extrapolé ce taux pour estimer la probabilité de survie pour la saison de reproduction (0,80, erreur-type = 0,09), période qui représente pour les femelles le plus grand risque de prédation. De récentes estimations de la mortalité annuelle (42 %) suggèrent qu’environ 50 % de cette dernière chez la population femelle se produit durant la saison de reproduction, ce qu’on retrouve aussi dans les résultats d’études récentes sur le fuligule nichant dans la prairie. De plus, notre estimation de la survie offre des renseignements qui sont nécessaires à l’élaboration de modèles préliminaires de la dynamique des populations chez le fuligule boréal, une étape qui permettrait d’améliorer considérablement notre compréhension du déclin de l’espèce.