Y-a-t-il des montagnes en Islande ? Histoires de refuges et de toilettes en hauts lieux

Ce témoignage est issu d’une expérience de trek en juillet 2014, dans deux réserves naturelles islandaises connues pour cette pratique, le Fjallabak et Hornstrandir, particulièrement enneigées et sujettes aux intempéries au début de l’été : Landmannalaugar, lieu-dit situé à 650 mètres d’altitude dan...

Full description

Bibliographic Details
Published in:Revue de géographie alpine
Main Author: Monnard, Muriel
Format: Review
Language:French
Published: Association pour la diffusion de la recherche alpine 2022
Subjects:
Online Access:http://journals.openedition.org/rga/2959
Description
Summary:Ce témoignage est issu d’une expérience de trek en juillet 2014, dans deux réserves naturelles islandaises connues pour cette pratique, le Fjallabak et Hornstrandir, particulièrement enneigées et sujettes aux intempéries au début de l’été : Landmannalaugar, lieu-dit situé à 650 mètres d’altitude dans la réserve de Fjallabak, camp de base du trek du Laugavegur (54 km sur 3 ou 4 jours) et dont le toponyme islandais signifie « les bains chauds du pays » en référence à ses sources chaudes, liées . This testimony comes from a trek experiment in July 2014 in two Icelandic nature reserves known for this practice, the Fjallabak and Hornstrandir, which were particularly snow and weather-prone in early summer: Landmannalaugar, a locality located at an altitude of 650 metres in the Fjallabak reserve, the base camp of the Laugavegur trek (54 km over 3 or 4 days) and whose toponym means ‘the country’s hot baths’ by reference to its connected hot sources.