Hommage à Michèle Therrien (1945-2017)

Cette note ne s’inscrit pas dans une quelconque et froide « rubrique nécrologique » puisqu’avant d’être une collègue, Michèle Therrien était une amie. Nous nous sommes rencontrés au début des années 1970 dans les locaux du Centre d’Études Arctiques à Paris, où nous étions étudiants. Elle venait du Q...

Full description

Bibliographic Details
Published in:Revue des sciences sociales
Main Author: Navet, Éric
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:unknown
Published: Presses universitaires de Strasbourg 2018
Subjects:
art
Online Access:http://journals.openedition.org/revss/551
Description
Summary:Cette note ne s’inscrit pas dans une quelconque et froide « rubrique nécrologique » puisqu’avant d’être une collègue, Michèle Therrien était une amie. Nous nous sommes rencontrés au début des années 1970 dans les locaux du Centre d’Études Arctiques à Paris, où nous étions étudiants. Elle venait du Québec, dont elle avait toujours un peu gardé l’accent et d’où elle tenait aussi le surnom de Kateri (une « sainte » iroquoise), que lui avait affectueusement donné son mari Jean-Pierre Farrell qui . This note is not part of any cold “necrological section” since before being a colleague Michèle Therrien was a friend. We met in the early 1970s at the Centre d’Etudes Arctiques in Paris, where we were students. She came from Quebec, where she had always kept a little emphasis and where she also held Kateri’s nickname (an iroquoise ‘saint’), which she had emotionally given her husband Jean-Pierre Farrell, who.