Influence de l'hydrologie, du substratum et de la restauration d'une tourbière abandonnée sur la croissance de la chicouté

Cloudberry (Rubus chamaemorus L.) cultivation is presently receiving more and more attention. A grower’s guide is available in Norway. However, site selection is imprecise with regards to soil physical and hydrological properties. Furthermore, compatibility of peatland restoration techniques with cl...

Full description

Bibliographic Details
Main Author: Théroux Rancourt, Guillaume
Other Authors: Rochefort, Line, Lapointe, Line
Format: Thesis
Language:French
Published: Université Laval 2007
Subjects:
geo
Online Access:https://hdl.handle.net/20.500.11794/19663
Description
Summary:Cloudberry (Rubus chamaemorus L.) cultivation is presently receiving more and more attention. A grower’s guide is available in Norway. However, site selection is imprecise with regards to soil physical and hydrological properties. Furthermore, compatibility of peatland restoration techniques with cloudberry cultivation has not been tested, as well as the establishment of Norwegian cultivars in Canada. Water table levels did not affect cloudberry growth, although physical properties were different between the two experimental conditions. However, more rhizomes were produced in fibric peat than in mesic peat. Mulching decreased the production of leaves. The Norwegian cultivar Fjordgull had the highest survival. These results suggest that cloudberry should be planted 2 or 3 years after peatland restoration, as well as in fibric peat that has received a limited amount of machinery work, thus having better porosity and physical properties. La culture de la chicouté (Rubus chamaemorus L.) connaît présentement un regain d’intérêt. Un guide de production a été publié en Norvège, mais les caractéristiques physiques et hydriques du sol y sont imprécises. La compatibilité avec la restauration de tourbières n’a jamais été testée, tout comme l’implantation de cultivars norvégiens au Canada. L’utilisation de deux niveaux d’eau recommandés n’a pas affecté la chicouté, bien que les propriétés physiques étaient différentes entre les deux conditions expérimentales. Plus de rhizomes ont été produits en tourbe fibrique qu’en tourbe mésique. L’implantation avec un paillis a réduit la production de feuilles. Le cultivar norvégien Fjordgull a obtenu le meilleur taux de survie. Ces résultats suggèrent que la chicouté devrait être implantée 2 à 3 ans après la restauration dans une tourbe fibrique ayant subit peu de perturbations, ceci permettant de conserver une meilleure porosité et de bonnes propriétés physiques du sol.