Summary: | "Le roman, La Rivière sans repos, de Gabrielle Roy est centré autour d’un viol, topos courant dans le naturalisme littéraire, puisque la représentation de l’acte pulsionnel est un des enjeux clés de ce mouvement. Le viol, par un G.I., du personnage principal, une jeune fille inuit nommée Elsa Kumachuk, est d’autant plus emblématique du naturalisme, qu’il apparaît comme la révélation brutale d’une circonstance fortuite où l’homme redevient “bête”.Ce viol d’Elsa, dans la perspective naturaliste qui intéresse notre étude, déclenche tout un engrenage déterministe convoquant une vision entropique du monde. L’événement qui enclenche la série de causes à effets afférente à l’entropie dans ce roman, est la naissance d’un enfant blond aux yeux bleus, traits physiques que lui a légués son père américain, et qui servent de contrepoids à l’ascendance métisse de sa mère." "The novel, La Rivie à re sans rest, de Gabrielle Roy is centred around a rape, which is common in littoral naturalism, since the resumption of pulsional acts is one of the issues at stake in this movement. The rape, by a G.I. of the main figure, an Inuit girl named Elsa Kumachuk, is all the more closely linked to naturalism, as it looks like the abrupt removal of a fortuitous circumstance or to the man once again becomes “be”. This rape of Elsa, from the naturalist perspective of our study, is a whole of terminist gatherings calling for an entropical vision of the world. The result of which causes the effects of entropy occur in this novel is the birth of a child who is blurred in the eyes of blue, the physical features of which he or she has his own home, and which serves as a counterweight to the descent of her.’
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