Summary: | Dans les pays de culture orthodoxe, la chute de Constantinople porta un coup fatal à l’écriture du moi, si vivace tout au long de la période byzantine. Elle ne se perpétua qu’en milieu monastique et sous forme de testaments spirituels. Ainsi, Eleazar Servinkov-Anzersky (?-1656), qui avait fondé un couvent au-delà du cercle polaire, laissa quelques pages à ses moines, comme l’avait fait avant lui, et sous les mêmes latitudes, Martiry Zelenetsky. Son récit commence en 1615, lorsqu’il décide de . In countries of orthodox culture, the fall of Constantinople brought a fatal blow to me’s writing, so alive throughout the Byzantine period. It will only continue in monastic environments and in the form of spiritual wills. For example, Eleazar Servinkov-Anzersky (? -1656), who had formed a convent beyond the polar circle, left a few pages to his monks, as he had done before, and under the same latitudes, Martiry Zelenetsky. His narrative starts in 1615, when he decides to.
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