L'énigme de l'art quaternaire peut-elle être résolue par la théorie du culte des Ongones ?

En confrontant la synthèse des croyances mystiques des peuples hyper- boréens, disséminés autour du Cercle Polaire arctique avec les sujets peints, gravés et sculptés et avec les documents archéologiques découverts dans la préhistoire eurasique, la raison trouve de si nombreuses coïncidences qu'...

Full description

Bibliographic Details
Published in:Revue des Sciences Religieuses
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:French
Published: PERSEE 1964
Subjects:
Online Access:http://www.persee.fr/doc/rscir_0035-2217_1964_num_38_4_2395
https://doi.org/10.3406/rscir.1964.2395
Description
Summary:En confrontant la synthèse des croyances mystiques des peuples hyper- boréens, disséminés autour du Cercle Polaire arctique avec les sujets peints, gravés et sculptés et avec les documents archéologiques découverts dans la préhistoire eurasique, la raison trouve de si nombreuses coïncidences qu'elle ne fait aucune objection à l'application de la théorie du Culte des Ongones. Ce Culte distingue le Le Kane, le support matériel inerte, qui doit être animé par l'Ongone, l'Esprit-Ame, la Vie dans toutes ses manifestations végétales, animales et humaines. L'Homme est lié aux ongones par une sorte de Contrat-Alliance, qui a fait naître des rites, des coutumes, des cérémonies tribales et funéraires dans lesquelles les témoignages archéologiques trouvent une explication logique et rationnelle.