1. Les Égyptiens, les Phéniciens et les Carthaginois
La connaissance des poissons, née de l’habitude de s’en nourrir, a dû être l’une des premières qu’acquirent les hommes car il n’est point d’aliment que la nature leur offre en plus grande abondance et dont ils puissent s’emparer avec moins de peine : aussi voyons nous que les peuples les plus sauvag...
Main Author: | |
---|---|
Other Authors: | |
Format: | Book Part |
Language: | French |
Published: |
Publications scientifiques du Muséum
2021
|
Subjects: | |
Online Access: | http://books.openedition.org/mnhn/6279 |
Summary: | La connaissance des poissons, née de l’habitude de s’en nourrir, a dû être l’une des premières qu’acquirent les hommes car il n’est point d’aliment que la nature leur offre en plus grande abondance et dont ils puissent s’emparer avec moins de peine : aussi voyons nous que les peuples les plus sauvages, et ceux qui sont relégués sur les plages les plus stériles, sont ceux qui vivent le plus entièrement de poisson. Les Groënlandais, les Esquimaux, les Kamtschadales, sont ichtyophages, comme l. |
---|