| Summary: | Depuis l’année de départ de la crise, en 2008 jusqu’à ce jour, s’est révélé aux yeux des intéressés, la tendance des fonds occidentaux et des investisseurs vers la zone pacifique, où deux faits s’imposent : 1) le coût du travail moyen se situe autour de 5% et 2) le pourcentage de plus-value au niveau international est immense et du niveau 500600%, après déduction de tout coût de capital (impôts, coûts opérationnels, etc.). Ce phénomène n’a pas laissé la Russie non plus indifférente. Par ailleurs, le rythme de fonte des glaces en Arctique change la donne stratégique et offre pour le futur des perspectives de navigations pour la Russie vers le Pacifique, via le détroit de Bérin.
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