Willy Robin talks about his life, his family history, and then sings a few songs

Willy Robin parle de sa vie, racontant ses mémoires de sa jeunesse, parlant du travail dans la pêche et dans l’industrie forestière. Il parle de l’école et l’éducation religieuse. Il parle de ses visites au Cap-Breton et des langues parlées à Cheticamp. Il parle de son père, Guillaume, né à Terre-Ne...

Full description

Bibliographic Details
Main Author: Thomas, Gerald
Other Authors: Robin, Guillaume (Willy);
Format: Text
Language:French
Published: 1971
Subjects:
Online Access:http://collections.mun.ca/cdm/ref/collection/gthomas/id/2716
Description
Summary:Willy Robin parle de sa vie, racontant ses mémoires de sa jeunesse, parlant du travail dans la pêche et dans l’industrie forestière. Il parle de l’école et l’éducation religieuse. Il parle de ses visites au Cap-Breton et des langues parlées à Cheticamp. Il parle de son père, Guillaume, né à Terre-Neuve, et de son grand-père, né à St-Malo, France, ainsi que de sa famille et des « vieux Français » dans la région. Il chante « Sur le pont de Nantes », « Trois navires de blé », et « C’était une fille de 18 ans ». Il parle des hommes chantant ensemble dans les chantiers et les rythmes sur lesquels on chantait. Il parle un peu de la pêche et des bateaux, mais il revient au sujet des chansons, parlant des chansons impolies, donnant par exemple « Oh, Thérèse que tu as de belles cuisses ». Il explique pourquoi il ne l’a jamais chanté pour Kenneth Peacock. Il parle des noms et des petits noms utilisés dans la communauté, et des noms des lieux dans la région, en anglais et en français. -- Willy Robin speaks about his life, recounting memories from his youth about working in the fishery and forestry industries. He speaks about school and religious education. He talks about his trips to Cape Breton and the languages spoken in Cheticamp. He speaks about his father, Guillaume, born in Newfoundland, and his grandfather who was born at St. Malo in France, as well as about his family and the "old French" in the area. He sings "Sur le pont de Nantes", "Trois navires de blé", and "C'était une fille de 18 ans". He talks about men singing on worksites, and the rhythms people sang to. He talks a little about fishing and boats, but comes back to the subject of songs, talking about rude songs and giving an example, "Oh, Thérèse que tu as de belles cuisses". He explains why he never sang those for Kenneth Peacock. He talks about names and nicknames used in the community, and about place names in the area, in both English and French. Transcription d'enregistrement qui ne pouvait pas être numérisé. L'audio se trouve à MUNFLA -- Transcript ...