Cornelius Rouzes plays some music and talks about aspects of his culture

Cornelius Rouzes parle de la chanson « Petit village d’Alsace », disant qu'il l'a appris de son père. Il parle de sa maladie. Il parle de son père, qui venait de La Rochelle en France, et des chansons qu’il chantait. Il chante « Je tchiens cette nid de fauvettes », et puis parle des gens q...

Full description

Bibliographic Details
Main Author: Thomas, Gerald
Other Authors: Rouzes, Cornelius; Rouzes, Israel
Format: Audio
Language:French
Published: 1973
Subjects:
Online Access:http://collections.mun.ca/cdm/ref/collection/gthomas/id/2559
Description
Summary:Cornelius Rouzes parle de la chanson « Petit village d’Alsace », disant qu'il l'a appris de son père. Il parle de sa maladie. Il parle de son père, qui venait de La Rochelle en France, et des chansons qu’il chantait. Il chante « Je tchiens cette nid de fauvettes », et puis parle des gens qui parlent la langue bretonne à Degras et au Cap. Ensuite il raconte quelques histoires courtes, dont une d’un homme fort. Israël Rouzes arrive, et puis Cornelius joue encore de la musique. Ils parlent de la musique et d'où il a appris certaines des chansons. Ils parlent de la guimbarde et d’apprendre à jouer la « madeleine » [mandolin?], et puis de la Chandeleur. Cornelius Rouzes parle des veillées, de quelques contes et des circonstances dans lesquelles on contait, dansait et chantait lors des veillées d’autrefois. Il raconte quelques contes à dormir debout. -- Cornelius Rouzes discusses the song "Petit village d’Alsace" and tells about learning it from his father. He speaks of his illness. He talks about his father, who came from La Rochelle in France, and the songs he sang. He talks about speakers of the Breton language in Degras and at the Cape. He then tells a couple of short tales, one of which is about a strong man. Israël Rouzes arrives and Cornelius plays some more music. They talk about music and where he learned some of the songs he knows. They talk about the “Jew's Harp”, and learning to play the “madeleine” [mandolin?] and then about Candlemas. Cornelius talks about parties, about several folktales, and about when and where they were told during nights of music and dancing in years past. He tells a couple of tall tales.