| Summary: | L'applicabilité de la géostatistique pour l'analyse de données d'écho-intégration est explorée à l'aide de deux ensembles de données provenant des eaux côtières du nord de la Norvège et du Vénézuela. Les écarts aux conditions de stationnarité et les variations temporelles des structures spatiales sont examinées en portant une attention spéciale aux effets de : (1) l'utilisation des données brutes ou transformées en unités logarithmiques, (2) l'exclusion ou l'inclusion des séries de zéros, (3) différences jour/nuit dans les structures spatiales, (4) double échantillonnages et (5) différentes communautés de poissons. Tous ces facteurs affectèrent fortement la forme des variogrammes calculés, et conséquemment les estimations de biomasse qui en étaient reliées. L'utilisation de la géostatistique pour l'analyse des structures spatiales, l'estimation ou la cartographie de la biomasse en écho-intégration doit donc être effectuée avec précautions. Des recommandations sont suggérées et les aspects demandant plus de recherche sont soulevés. (Résumé d'auteur)
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