Reconnaissance des acquis d’expérience pour les étudiants inuit et des Premières Nations inscrits dans un programme de formation en enseignement

Cet article brosse un portrait de ce qui se fait en reconnaissance des acquis (RAC) en contexte autochtone au sein de deux universités, soit l’Université du Québec à Chicoutimi et l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue. Il identifie aussi les potentialités et les obstacles envisagés pour me...

Full description

Bibliographic Details
Published in:Revue hybride de l'éducation
Main Authors: Jacob, Elisabeth, Tremblay, Marie-Michèle, Pellerin, Glorya, Paul, Véronique, Couture, Christine, Gauthier, Diane, Gauthier, Roberto, Bacon, Lily
Format: Text
Language:French
Published: Département des sciences de l'éducation 2024
Subjects:
Online Access:http://id.erudit.org/iderudit/1112698ar
https://doi.org/10.1522/rhe.v8i3.1754
Description
Summary:Cet article brosse un portrait de ce qui se fait en reconnaissance des acquis (RAC) en contexte autochtone au sein de deux universités, soit l’Université du Québec à Chicoutimi et l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue. Il identifie aussi les potentialités et les obstacles envisagés pour mettre en place un modèle qui permettrait d’optimiser ce processus. En s’appuyant sur la recherche autochtone et la recherche collaborative, des rencontres ont eu lieu avec des professeurs, des professionnels ainsi que des partenaires et étudiants autochtones afin de relever les savoirs d’expérience de ces étudiants autochtones qui pourraient faire l’objet d’une démarche de RAC. La reconnaissance des compétences développées lors d’activités professionnelles extra formations et liées à la formation, la sécurisation culturelle, la valorisation et la reconnaissance des aspects personnels et communautaires d’une enseignante non légalement qualifiée doivent être pris en considération lorsqu’un processus de RAC est envisagé.