Sonia Bonspille Boileau : repenser la présence autochtone dans le milieu cinématographique
Réalisé en juillet 2020 dans le but de continuer une discussion entamée durant le Festival Filministes le 4 mars 2020 sur le film Rustic Oracle (2019), cet entretien avec la cinéaste québécoise et autochtone Sonia Bonspille Boileau explore les enjeux entourant la présence autochtone dans l’industrie...
Published in: | Nouvelles vues: Revue sur les pratiques, les théories et l'histoire du cinéma au Québec |
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Main Author: | |
Format: | Text |
Language: | French |
Published: |
Observatoire du cinéma au Québec
2022
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Subjects: | |
Online Access: | http://id.erudit.org/iderudit/1106691ar https://doi.org/10.7202/1106691ar |
Summary: | Réalisé en juillet 2020 dans le but de continuer une discussion entamée durant le Festival Filministes le 4 mars 2020 sur le film Rustic Oracle (2019), cet entretien avec la cinéaste québécoise et autochtone Sonia Bonspille Boileau explore les enjeux entourant la présence autochtone dans l’industrie cinématographique : la représentation, le financement, la crédibilité, la difficulté de se faire entendre dans le milieu en tant que femme et les problèmes des Premières Nations qui perdurent aujourd’hui et qui peinent à se faire reconnaître. En s’attardant sur ses documentaires, son court-métrage We’ll Always Have Toynbee (2018), son film Le dep (2015), mais principalement sur son plus récent long métrage Rustic Oracle (2019), Bonspille Boileau aborde l’importance qu’elle accorde aux détails, la motivation derrière ses choix lorsque vient le temps de monter une équipe de tournage et de choisir ses acteur·ice·s, ainsi que les changements qu’elle relève dans le milieu cinématographique. |
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