Governmental Indian Policy, Administration, and Economic Planning in the Eastern Subarctic

This paper undertakes a comparative analysis of the effects of governmental administration and planning in northern Native communities. The effects are examined with reference to two community types — reserves, with their single-stranded ties to Ottawa’s Department of Indian Affairs, and non-reserve...

Full description

Bibliographic Details
Main Author: Hedican, Edward J.
Format: Text
Language:English
Published: Canadian Anthropology Society / Société Canadienne d’Anthropologie (CASCA), formerly/anciennement Canadian Ethnology Society / Société Canadienne d’Ethnologie 1982
Subjects:
Online Access:http://id.erudit.org/iderudit/1078110ar
https://doi.org/10.7202/1078110ar
Description
Summary:This paper undertakes a comparative analysis of the effects of governmental administration and planning in northern Native communities. The effects are examined with reference to two community types — reserves, with their single-stranded ties to Ottawa’s Department of Indian Affairs, and non-reserve settlements, which have a diversity of outside contacts. It is argued that the limited external contacts characteristic of reserves impede local initiative and foster reliance on decisions made by Government personnel. By contrast, the non-reserve community is able to exercise greater local control because no single external agency is in a position to dominate local affairs. Lacking significant outside structures, leadership in the non-reserve community is able to pursue more autonomous and coherent local planning for economic change. Ce texte a pour but d’analyser les conséquences de l’administration et de la planification gouvernementale sur les communautés autochtones nordiques et d’en comparer les résultats. Cette analyse est faite à la lumière de deux types de collectivités : les réserves, dont les liens avec le Ministère des Affaires indiennes à Ottawa sont privilégiés, et les communautés (sans le statut légal de réserve), qui présentent des traits hétérogènes marqués par des contacts extérieurs ponctuels. Nous partons du postulat que les contacts limités, caractéristiques des réserves, les empêchent de prendre des initiatives, et créent une relation de dépendance avec les fonctionnaires du gouvernement. À l’opposé, en l’absence de l’influence d’un cadre administratif extérieur, les communautés sont en mesure de contrôler les affaires locales. Les conditions d’émergence d’un corps politique, capable de prendre les décisions indépendantes au sujet de la planification de l’économie locale, sont donc rendues possibles.