L’Orphée rouge : 750 av. J.-C.

« L’Orphée rouge » est placé sous l’égide d’une stèle de couleur ocre, représentant un prince qui danse à la porte de l’enfer où il a vaincu la mort. Différents artefacts, semblablement rattachés à des légendes et des rituels, sont étudiés par rapport à leur théâtralité : masques, partitions, pétrog...

Full description

Bibliographic Details
Published in:L'Annuaire théâtral
Main Author: Bourassa, André-Gilles
Format: Text
Language:French
Published: Centre de recherche en civilisation canadienne-française (CRCCF) et Société québécoise d'études théâtrales (SQET) 2003
Subjects:
Online Access:http://id.erudit.org/iderudit/041528ar
https://doi.org/10.7202/041528ar
Description
Summary:« L’Orphée rouge » est placé sous l’égide d’une stèle de couleur ocre, représentant un prince qui danse à la porte de l’enfer où il a vaincu la mort. Différents artefacts, semblablement rattachés à des légendes et des rituels, sont étudiés par rapport à leur théâtralité : masques, partitions, pétroglyphes et sculptures. À l’aide d’études paléographiques récentes et de récits d’observateurs de l’époque, cet essai entend jeter un peu de lumière sur certaines « actions » des Premières Nations de la Nouvelle-France, leur déroulement, leurs lieux et leurs thèmes. « L’Orphée rouge », placed on an ochre coloured stele, represents a prince who dances at the door of hell where he has overcome death. Different artefacts, similarly linked to legends and rituals, are studied with regard to their theatricality: masks, partitions, petroglyphs and sculptures. Using recent paleographic studies and accounts of observers of the time, this essay intends to shed some light on certain "actions" of the First Nations peoples in New France.