Monitoring of arctic and red fox reproduction on Bylot Island, Nunavut, Canada : Suivi de la reproduction du renard arctique et du renard roux à l’Île Bylot, Nunavut, Canada

Foxes are strongly dependent on dens for parturition and rearing of cubs. Due to the shallow permafrost-free layer in most of the arctic fox’s range, new dens are rarely dug and existing ones are often used repeatedly year after year. An effective way to monitor both arctic and red fox populations i...

Full description

Bibliographic Details
Main Author: Dominique Berteaux
Format: Dataset
Language:unknown
Published: Nordicana D 2020
Subjects:
Online Access:https://dx.doi.org/10.5885/45594ce-a69880e653314887
http://www.cen.ulaval.ca/nordicanad/dpage.aspx?doi=45594CE-A69880E653314887
Description
Summary:Foxes are strongly dependent on dens for parturition and rearing of cubs. Due to the shallow permafrost-free layer in most of the arctic fox’s range, new dens are rarely dug and existing ones are often used repeatedly year after year. An effective way to monitor both arctic and red fox populations is to take advantage of their use of den sites for reproduction. Starting in 1993, known den sites in the south plain of Bylot Island were opportunistically visited to assess the presence of cubs. Starting from 2003, the monitoring became systematic. An extensive search of dens was conducted and covered an area of ca. 600 km2 going from the Qarlikturvik valley to Pointe Dufour. Since then, dens are visited twice during summer, once in mid-May and once at the end of June. All visits are made within a week to avoid counting the same litter twice due to relocation of cubs during the rearing period. Only dens where cubs are seen or heard are categorized as breeding dens (natal or rearing den). Since 2007, camera traps are installed on some dens to complement field observations. : Les renards sont très dépendants de tanières, aussi bien pour la mise-bas que pour l’élevage des jeunes. Étant donné la faible épaisseur de la couche active du pergélisol dans la majorité de la zone de distribution du renard arctique, il est rare que de nouvelles tanières soient excavées et celles existantes sont souvent réutilisées année après année. Une manière efficace d’effectuer le suivi des populations de renards arctiques et de renards roux est donc de tirer partie de leur utilisation des tanières pour la reproduction. Depuis 1993, les tanières de renards connues dans la plaine Sud de l’île Bylot ont été visitées chaque année de manière opportuniste afin de déterminer la présence de jeunes. À partir de 2003, le suivi est devenu systématique. Une recherche intensive des tanières a débuté jusqu’à recouvrir une aire d’environ 600 km2 s’étendant de la vallée de Qarlikturvik à la Pointe Dufour. Les tanières sont depuis visitées deux fois durant l’été, une fois à la mi-mai et une fois à la fin juin. Toutes les visites se font en moins d’une semaine afin de minimiser un double comptage de la même portée en cas de déménagement des jeunes lors de la période d’élevage. Seules les tanières avec des jeunes vus ou entendus sont catégorisées comme étant des tanières de reproduction (tanière natale ou tanière d’élevage). À partir de 2007, des appareils photo automatiques ont été posés sur certaines tanières afin de compléter les informations de terrain provenant des visites.