Maximilien Hell à Giovanni Poleni, à Vienne, le 28 février 1758 ...
Première lettre de Maximilien Hell à Poleni : il correspondait jusque-là par l’intermédiaire de l’héritier de Marinoni. Marinoni meurt de 10 janvier 1755, il lègue à Biagio (Blasius) Freddi, neveu de sa sœur, prêtre et héritier, exécuteur testamentaire, ses biens, dont sa bibliothèque et sa collecti...
| Main Author: | |
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| Format: | Still Image |
| Language: | Latin |
| Published: |
NAKALA - https://nakala.fr (Huma-Num - CNRS)
2022
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| Subjects: | |
| Online Access: | https://dx.doi.org/10.34847/nkl.bd9a84j7 https://nakala.fr/10.34847/nkl.bd9a84j7 |
| Summary: | Première lettre de Maximilien Hell à Poleni : il correspondait jusque-là par l’intermédiaire de l’héritier de Marinoni. Marinoni meurt de 10 janvier 1755, il lègue à Biagio (Blasius) Freddi, neveu de sa sœur, prêtre et héritier, exécuteur testamentaire, ses biens, dont sa bibliothèque et sa collection d’instruments de mathématique, dispersées par une vente publique. Il laisse sa maison, avec les instruments astronomiques et les cartes, à la disposition de l’impératrice Marie-Thérèse, qui les donne à l’Université de Vienne où, installés dans la tour astronomique, ils servent aux savants, dont Maximilien Hell. ... : Bibliographic citation: Biagio (Blasius) Freddi publie en 1775 à Vienne un ouvrage posthume, De re ichnometrica veteri ac nova (https://www.digitale-sammlungen.de/en/view/bsb10942347?page=32), que Marinoni n’avait pas eu le temps de publier avant sa mort. Per Pippin Aspaas « Le Père Jésuite Maximilien Hell et ses relations avec Lalande », dans Jérôme Lalande : Une trajectoire scientifique (1732-1807), Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2010 (DOI : https://doi.org/10.4000/books.pur.108608) Mag. Nora Pärr, Maximilian Hell und sein wissenschaftliches Umfeld im Wien des 18. Jahrhunderts, Dissertation, Université de Vienne, 2011, part. p. 81-86 http://docplayer.org/16359525-Maximilian-hell-und-sein-wissenschaftliches-umfeld-im-wien-des-18-jahrhunderts-verfasserin-mag-nora-paerr.html Per Pippin Aspaas, Maximilianus Hell (1720–1792) and the eighteen-century transits of Venus [archive], Université de Tromsø, 2012 Per Pippin Aspaas et Laslio Kontler, Maximilian Hell (1720–92) and the Ends of Jesuit Science in ... |
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