Interspecific hybridization of salmonid fish. I. Hatching and survival up to the 15th day after hatching in F1 generation of hybrids

• Published in: Aquaculture
• Main Authors: BLANC, J.M., CHEVASSUS, B.
• Other Authors: Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), Laboratoire de physiologie des poissons
• Format: Article in Journal/Newspaper
• Language: English
• Published: HAL CCSD 1979
• Subjects: fish; salmonid; interspecific hybridization; [SDV]Life Sciences [q-bio]; Brune; Atlantic salmon
• Online Access: https://hal.inrae.fr/hal-02732638; https://hal.inrae.fr/hal-02732638/document; https://hal.inrae.fr/hal-02732638/file/Blan1979Aqua_1.pdf; https://doi.org/10.1016/0044-8486(79)90097-8

International audience Artificial hybridizations were carried out with 17 combinations using six species of Salmonidae, namely chinook and coho salmon, rainbow and brown trout, Atlantic salmon and brook trout. Success at the eyed stage, survival rates up to the 15th day after hatching, length of the incubation period and dispersion of hatching times were examined with reference to monospecific control lots. Success and survival rates of hybrids were found to be inferior or at the best similar to those of parental species. Significant maternal effects were observed within most types of crosses. Highly variable interaction factors were found to influence length of incubation of hybrids, which could exceed that of either parental species. The dispersion of hatching times was greater in hybrids than in pure species and tended to be negatively correlated to survival. A few types of hybrids showed promising results at the end of the experiment and their potential interest for aquaculture is discussed. Des hybridations artificielles représentant 17 combinaisons ont été, réalisées à, partir de 6 espèces de Salmonidés, à, savoir les saumons chinook et coho, la truite arc-en-ciel, la truite brune, le saumon Atlantique et l'omble de fontaine. La réussite au stade oeillé, les taux de survie jusqu'au 15e jour après l'éclosion, la durée d'incubation et la dispersion des éclosions ont été, examinés par référence aux lots témoins monospécifiques. Les taux de réussite et de survie des hybrides se sont révélés inférieurs ou au mieux semblables à, ceux des espèces parentales. Des effets maternels significatifs ont été, observés dans la plupart des types de croisements. Des facteurs d'interaction très variables se sont avérés agir sur la durée d'incubation des hybrides, qui pouvait dépasser celles des espèces parentales. La dispersion des éclosions était plus importante chez les hybrides que dans les espèces pures et tendait à, être négativement corrélée à, la survie. Quelques types d'hybrides ont donné, des résultats ...