Enhanced rockfall activity during the Little Ice Age: further lichenometric evidence from a Norwegian talus

Abstract A recent study of lichen sizes on a talus in western Norway suggested that rockfall frequency was enhanced considerably during the cold conditions of the Little Ice Age. That conclusion is tested here using another talus in western Norway, in an area where lichen (genus Rhizocarpon ) growth...

Full description

Bibliographic Details
Published in:Permafrost and Periglacial Processes
Main Authors: McCarroll, Danny, Shakesby, Richard A., Matthews, John A.
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:English
Published: Wiley 2001
Subjects:
Online Access:http://dx.doi.org/10.1002/ppp.359
https://api.wiley.com/onlinelibrary/tdm/v1/articles/10.1002%2Fppp.359
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/pdf/10.1002/ppp.359
Description
Summary:Abstract A recent study of lichen sizes on a talus in western Norway suggested that rockfall frequency was enhanced considerably during the cold conditions of the Little Ice Age. That conclusion is tested here using another talus in western Norway, in an area where lichen (genus Rhizocarpon ) growth rates are higher. That part of the talus retaining a late Holocene record yields a lichen size–frequency distribution quite different to that reported in the previous study. However, when the appropriate lichenometric dating curve is used within a model that simulates the influence of late Holocene rockfall activity on lichen size–frequency distributions, a similar temporal pattern of rockfall supply is obtained. The results suggest that, at this site, rockfall frequency during the eighteenth century, the coldest phase of the Little Ice Age, may have been up to seven times higher than the normal late Holocene rate. Copyright © 2001 John Wiley & Sons, Ltd. RÉSUMÉ Une étude récente de la taille des lichens sur un talus de l'ouest de la Norvège suggérait que la fréquence des chutes de roches a été beaucoup plus élevée que maintenant pendant le ‘petit âge glaciaire.’ Cette conclusion est testée ici sur un autre talus de la même région où la vitesse de croissance des lichens est plus élevée. La partie du talus qui contient l' information portant sur la fin de l'Holocène montre une distribution de la taille des lichens tout à fait différente de celle mentionnée dans l'étude antérieure. Toutefois quand la courbe de datation lichenométrique est utilisée dans le cadre d'un modèle qui simule l'influence de l'activité des chutes de blocs holocènes sur la distribution des lichens, les auteurs obtiennent une figure de l'alimentation par chute de blocs comparable à celle de l'étude précédente. Le résultat suggère qu'en cet endroit la fréquence des chutes de blocs pendant le 18 e siècle, qui a été la phase la plus froide du ‘petit âge glaciaire’ pourrait avoir été jusqu'à sept fois plus grande que la vitesse normale de la fin ...