L’activité physique chez les Autochtones au CanadaCet article est tiré d’un supplément intitulé Advancing physical activity measurement and guidelines in Canada: a scientific review and evidence-based foundation for the future of Canadian physical activity guidelines (Favoriser les lignes directrices et la mesure de l’activité physique au Canada: examen scientifique et justification selon les données probantes pour l’avenir des lignes directrices de l’activité physique canadienne) publié par Physiologie appliquée, nutrition et métabolisme et la Revue canadienne de santé publique . On peut aussi mentionner Appl. Physiol. Nutr. Metab. 32 (Suppl. 2F) ou Can. J. Public Health 98 (Suppl. 2).

Cet article présente un bilan des pratiques de l’activité physique, des facteurs et des conséquences de même que des effets de plusieurs interventions menées pour accroître la pratique de l’activité physique chez les Aborigènes du Canada et des États-Unis. Peu d’études nationales ont été menées à pr...

Full description

Bibliographic Details
Published in:Applied Physiology, Nutrition, and Metabolism
Main Authors: Young, T. Kue, Katzmarzyk, Peter T.
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:French
Published: Canadian Science Publishing 2007
Subjects:
Online Access:http://dx.doi.org/10.1139/h07-164
http://www.nrcresearchpress.com/doi/full-xml/10.1139/H07-164
http://www.nrcresearchpress.com/doi/pdf/10.1139/H07-164
Description
Summary:Cet article présente un bilan des pratiques de l’activité physique, des facteurs et des conséquences de même que des effets de plusieurs interventions menées pour accroître la pratique de l’activité physique chez les Aborigènes du Canada et des États-Unis. Peu d’études nationales ont été menées à propos de la pratique de l’activité physique chez les peuples aborigènes. Les données les plus récentes proviennent de l’Enquête régionale longitudinale sur la santé des Premières Nations (2002–2003) : 21 % des adultes (hommes, 27 %, femmes, 15 %) font en une journée au moins 30 min d’activité physique d’intensité modérée à vigoureuse, et ce, 4 jours ou plus par semaine. Cet article indique les défis particuliers auxquels les Aborigènes sont confrontés et souligne le besoin pour cette population de s’approprier le savoir collectif à propos de la quantité d’activité physique à pratiquer et des modalités à suivre pour la promotion et le maintien de la santé. En ce moment, des individus travaillent à adapter le guide d’activité physique aux Premières Nations, aux Inuits et aux Métis. Les prochaines études devraient porter sur les niveaux, minimal et optimal, de pratique de l’activité physique chez ces populations afin qu’elles en retirent les bienfaits au plan de la santé.