Les risques conchylicoles en Baie de Quiberon
L’étude « Risco » s’attache aux causes possibles de mortalités massives d’huîtres creuses, de toutesclasses d’âge, enregistrées par les concessionnaires de baie de Quiberon (France, 56), à partir de2006. Le protocole engagé en 2010, avec son volet expérimental fondé sur le suivi mensuel de 15lots d’...
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2013
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ftunivnantes:oai:HAL:hal-02378491v1 2023-05-15T15:58:13+02:00 Les risques conchylicoles en Baie de Quiberon Les risques conchylicoles en Baie de Quiberon: Deuxième partie : le risque de prédation sur l’huître creuse Crassostrea gigas. Rapport final du projet Risco 2010-2013 Mazurie, Joseph Stanisiere, Jean-Yves Bouget, Jean-Francois Langlade, Aimé Leclerc, Emilie, Quinsat, Kevin Herve, Gilles Augustin, Jean-Marie Ehrhold, Axel Sinquin, Jean-Marc Meidy-Deviarni, Ika Goubert, Evelyne Cochet, Hélène Dreano, Alain Laboratoire Environnement Ressources Morbihan Pays de Loire (LERMPL) LITTORAL (LITTORAL) Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la Mer (IFREMER)-Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la Mer (IFREMER) Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la Mer (IFREMER) Unité différenciation épidermique et auto-immunité rhumatoïde (UDEAR) Université Toulouse III - Paul Sabatier (UT3) Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) GMGL Domaines Océaniques (LDO) Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Université de Brest (UBO)-Observatoire des Sciences de l'Univers-Institut d'écologie et environnement-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Université de Brest (UBO)-Observatoire des Sciences de l'Univers-Institut d'écologie et environnement-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) Cognition, Langues, Langage, Ergonomie (CLLE-LTC) École pratique des hautes études (EPHE) Université Paris sciences et lettres (PSL)-Université Paris sciences et lettres (PSL)-Université Toulouse - Jean Jaurès (UT2J)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) CRC Bretagne Sud Ifremer 2013 https://hal.science/hal-02378491 fr fre HAL CCSD hal-02378491 https://hal.science/hal-02378491 https://hal.science/hal-02378491 [Rapport de recherche] Ifremer. 2013, pp.RST/LER/MPL/13.20 Baie de Quiberon huître Crassostrea gigas risque mortalité prédation étoiles de mer bigorneaux perceurs Risco [SDV.BA]Life Sciences [q-bio]/Animal biology [SDU.OCEAN]Sciences of the Universe [physics]/Ocean Atmosphere info:eu-repo/semantics/report Reports 2013 ftunivnantes 2023-02-22T07:23:59Z L’étude « Risco » s’attache aux causes possibles de mortalités massives d’huîtres creuses, de toutesclasses d’âge, enregistrées par les concessionnaires de baie de Quiberon (France, 56), à partir de2006. Le protocole engagé en 2010, avec son volet expérimental fondé sur le suivi mensuel de 15lots d’huîtres et son volet d’imagerie in situ par sonar et vidéo, permet d’éclairer en particulier lerisque lié aux prédateurs. Une spatialisation très marquée de ce risque est mise en évidence, avec unezone à l’ouest relativement épargnée, une zone à l’est très affectée par les étoiles de mer (A. rubens,M. glacialis) et une zone intermédiaire à forte prédation de bigorneaux perceurs (O. erinacea, P.inornata). Entre ces deux groupes, la prédation est réalisée pour les ¾ par les étoiles de mer et pour¼ par les bigorneaux. Les pertes maximales ont lieu au printemps (recrudescence d’étoiles de mer) eten été (efficacité maximale de prédation). La prédation par dorades, devenue très préoccupante cesdernières années, n’a pas pu être estimée. L’analyse met aussi en évidence l’importance des mesuresd’entretien des parcs pour limiter l’incidence des prédateurs. Pour autant, la prédation n’est sansdoute pas le facteur principal des mortalités de 2006, une piste environnementale basée sur le risqued’hypoxie étant explorée par ailleurs. Report Crassostrea gigas Université de Nantes: HAL-UNIV-NANTES Baie de Quiberon ENVELOPE(68.839,68.839,-49.278,-49.278) |
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Baie de Quiberon huître Crassostrea gigas risque mortalité prédation étoiles de mer bigorneaux perceurs Risco [SDV.BA]Life Sciences [q-bio]/Animal biology [SDU.OCEAN]Sciences of the Universe [physics]/Ocean Atmosphere Mazurie, Joseph Stanisiere, Jean-Yves Bouget, Jean-Francois Langlade, Aimé Leclerc, Emilie, Quinsat, Kevin Herve, Gilles Augustin, Jean-Marie Ehrhold, Axel Sinquin, Jean-Marc Meidy-Deviarni, Ika Goubert, Evelyne Cochet, Hélène Dreano, Alain Les risques conchylicoles en Baie de Quiberon |
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L’étude « Risco » s’attache aux causes possibles de mortalités massives d’huîtres creuses, de toutesclasses d’âge, enregistrées par les concessionnaires de baie de Quiberon (France, 56), à partir de2006. Le protocole engagé en 2010, avec son volet expérimental fondé sur le suivi mensuel de 15lots d’huîtres et son volet d’imagerie in situ par sonar et vidéo, permet d’éclairer en particulier lerisque lié aux prédateurs. Une spatialisation très marquée de ce risque est mise en évidence, avec unezone à l’ouest relativement épargnée, une zone à l’est très affectée par les étoiles de mer (A. rubens,M. glacialis) et une zone intermédiaire à forte prédation de bigorneaux perceurs (O. erinacea, P.inornata). Entre ces deux groupes, la prédation est réalisée pour les ¾ par les étoiles de mer et pour¼ par les bigorneaux. Les pertes maximales ont lieu au printemps (recrudescence d’étoiles de mer) eten été (efficacité maximale de prédation). La prédation par dorades, devenue très préoccupante cesdernières années, n’a pas pu être estimée. L’analyse met aussi en évidence l’importance des mesuresd’entretien des parcs pour limiter l’incidence des prédateurs. Pour autant, la prédation n’est sansdoute pas le facteur principal des mortalités de 2006, une piste environnementale basée sur le risqued’hypoxie étant explorée par ailleurs. |
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Laboratoire Environnement Ressources Morbihan Pays de Loire (LERMPL) LITTORAL (LITTORAL) Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la Mer (IFREMER)-Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la Mer (IFREMER) Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la Mer (IFREMER) Unité différenciation épidermique et auto-immunité rhumatoïde (UDEAR) Université Toulouse III - Paul Sabatier (UT3) Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) GMGL Domaines Océaniques (LDO) Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Université de Brest (UBO)-Observatoire des Sciences de l'Univers-Institut d'écologie et environnement-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Université de Brest (UBO)-Observatoire des Sciences de l'Univers-Institut d'écologie et environnement-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) Cognition, Langues, Langage, Ergonomie (CLLE-LTC) École pratique des hautes études (EPHE) Université Paris sciences et lettres (PSL)-Université Paris sciences et lettres (PSL)-Université Toulouse - Jean Jaurès (UT2J)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) CRC Bretagne Sud Ifremer |
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