Use of the Alaskan Beaufort Sea by Bowhead Whales (Balaena mysticetus) Tagged with Satellite Transmitters, 2006 – 18

We used satellite telemetry to examine bowhead whale movement behavior, residence times, and dive behaviorin the Alaskan Beaufort Sea, 2006 – 18. We explored the timing and duration of use of three subregions (western, central, eastern) within the Alaskan Beaufort Sea and applied a two-state switchi...

Full description

Bibliographic Details
Published in:ARCTIC
Main Authors: Olnes, Justin, Citta, John J., Quakenbush, Lori T., George, John C., Harwood, Lois A., Lea, Ellen V., Heide-Jørgensen, Mads Peter
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:English
Published: The Arctic Institute of North America 2020
Subjects:
Online Access:https://journalhosting.ucalgary.ca/index.php/arctic/article/view/70865
Description
Summary:We used satellite telemetry to examine bowhead whale movement behavior, residence times, and dive behaviorin the Alaskan Beaufort Sea, 2006 – 18. We explored the timing and duration of use of three subregions (western, central, eastern) within the Alaskan Beaufort Sea and applied a two-state switching state-space model to infer bowhead whale behavior state as either transiting or lingering. Transiting whales made direct movements whereas lingering whales changed direction frequently and were presumably feeding. In spring, whales migrated across the Alaskan Beaufort Sea in 7.17 ± 0.41 days, primarily off the continental shelf over deep water. During the autumn migration, whales spent over twice as much time crossing the Alaskan Beaufort Sea than in spring, averaging 18.66 ± 2.30 days, spending 10.05 ± 1.22 days in the western subregion near Point Barrow. Most whales remained on the shelf during the autumn migration and frequently dove to the seafloor, where they spent 45% of their time regardless of behavioral state. Consistent dive behavior in autumn suggests that the whales were looking for food while migrating, and the identification of lingering locations likely reflects feeding. The lack of lingering locations in the eastern and central subregions suggests that prey densities are rarely sufficient to warrant whales pausing their migration for multiple days, unlike in the western subregion near Point Barrow, where bowhead whales regularlylingered for long periods of time. À l’aide de la télémétrie satellitaire, nous avons examiné les comportements de déplacement des baleines boréales,leurs temps de séjour et leurs comportements de plongée dans les eaux alaskiennes de la mer de Beaufort entre 2006 et 2018. Nous avons exploré le moment et la durée d’utilisation de trois sous-régions (ouest, centre et est) des eaux alaskiennes de la mer de Beaufort et appliqué un modèle à changement binaire espace-état afin de déduire l’état du comportement des baleines boréales comme étant soit en mode transit, soit en mode flânerie. Les baleines en mode transit se déplaçaient de manière directe, tandis que celles en mode flânerie changeaient souvent de direction et étaient probablement en train de se nourrir. Au printemps, les baleines migraient dans les eaux alaskiennes de la mer de Beaufort en 7,17 ± 0,41 jours, principalement au large du plateau continental, dans les profondeurs. Durant la migration automnale, les baleines passaient plus de deux fois plus de temps à traverser les eaux alaskiennes de la mer de Beaufort qu’au printemps, en moyenne 18,66 ± 2,30 jours, passant 10,05 ± 1,22 jours dans la sous-région de l’ouest, près de Point Barrow. Pendant la migration automnale, la plupart des baleines restaient dans le plateau continental et plongeaient souvent jusqu’au plancher océanique, où elles passaient 45 % de leur temps, peu importe leur état de comportement. À l’automne, le comportement de plongée régulier suggère que les baleines étaient à la recherche de nourriture pendant leur migration, et les lieux où elles flânaient étaient vraisemblablement indicateurs d’un mode d’alimentation. L’absence de lieux de flânerie dans les sous-régions de l’est et du centre suggère que la densité des proies est rarement suffisante pour que les baleines justifient d’interrompre leur migration pendant plusieurs jours, contrairement à la sous-région de l’ouest, près de Point Barrow, où les baleines boréales flânaient régulièrement pendant de longues périodes.