The Utility of Harvest Recoveries of Marked Individuals to Assess Polar Bear (Ursus maritimus) Survival

Management of polar bear (Ursus maritimus) populations requires the periodic assessment of life history metrics such as survival rate. This information is frequently obtained during short-term capture and marking efforts (e.g., over the course of three years) that result in hundreds of marked bears...

Full description

Bibliographic Details
Published in:ARCTIC
Main Authors: Peacock, Elizabeth, Laake, Jeff, Laidre, Kristin L., Born, Erik W., Atkinson, Stephen N.
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:English
Published: The Arctic Institute of North America 2012
Subjects:
Online Access:https://journalhosting.ucalgary.ca/index.php/arctic/article/view/67284
Description
Summary:Management of polar bear (Ursus maritimus) populations requires the periodic assessment of life history metrics such as survival rate. This information is frequently obtained during short-term capture and marking efforts (e.g., over the course of three years) that result in hundreds of marked bears remaining in the population after active marking is finished. Using 10 additional years of harvest recovery subsequent to a period of active marking, we provide updated estimates of annual survival for polar bears in the Baffin Bay population of Greenland and Canada. Our analysis suggests a decline in survival of polar bears since the period of active marking that ended in 1997; some of the decline in survival can likely be attributed to a decline in springtime ice concentration over the continental shelf of Baffin Island. The variance around the survival estimates is comparatively high because of the declining number of marks available; therefore, results must be interpreted with caution. The variance of the estimates of survival increased most substantially in the sixth year post-marking. When survival estimates calculated with recovery-only and recapture-recovery data sets from the period of active marking were compared, survival rates were indistinguishable. However, for the period when fewer marks were available, survival estimates were lower using the recovery-only data set, which indicates that part of the decline we detected for 2003 – 09 may be due to using only harvest recovery data. Nevertheless, the decline in the estimates of survival is consistent with population projections derived from harvest numbers and earlier vital rates, as well as with an observed decline in the extent of sea ice habitat. La gestion des populations d’ours polaires (Ursus maritimus) nécessite l’évaluation périodique des mesures du cycle biologique, tel que le taux de survie. Cette information est souvent obtenue dans le cadre des efforts de capture et de marquage à court terme (par exemple, sur une période de trois ans) qui se traduisent par le marquage d’une centaine d’ours au sein de la population une fois les travaux terminés. En nous appuyant sur dix années supplémentaires de données de récoltes de reprises suivant une période de marquage actif, nous aboutissons à des estimations actualisées de la survie annuelle des ours polaires faisant partie de la population de la baie de Baffin du Groenland et du Canada. Notre analyse suggère qu’il y a eu un déclin sur le plan de la survie des ours polaires depuis la période de marquage actif qui a pris fin en 1997. Une partie de ce déclin en matière de survie peut être attribuable à la diminution de la concentration de glace printanière sur le plateau continental de l’île de Baffin. La variance entourant les estimations de survie est comparativement élevée en raison du nombre à la baisse de marquages disponibles. Il y a donc lieu de faire preuve de prudence dans l’interprétation des résultats. La variance des estimations de survie augmentait considérablement au cours de la sixième année suivant le marquage. Lorsque nous avons comparé les estimations de survie avec les ensembles de données de reprise seulement et celles de recapture et de reprise pour la période de marquage actif, les taux de survie étaient indistinguables. Cependant, pour la période pendant laquelle un moins grand nombre de marquages était disponible, les estimations de survie étaient moins élevées lorsque nous nous sommes appuyés sur l’ensemble des données de reprise seulement, ce qui indique qu’une partie du déclin que nous avons constaté pour les années 2003 à 2009 pourrait être attribuable au fait que nous n’avons utilisé que les données des récoltes de reprises. Néanmoins, le déclin en matière d’estimations de survie est conforme aux projections de population dérivées des résultats des récoltes et des indices vitaux antérieurs, ainsi qu’à la diminution qui a été observée sur le plan de l’étendue de l’habitat de la glace de mer.