Route Selection to Minimize Helicopter Disturbance of Molting Pacific Black Brant: A Simulation

I used a previously described simulation model to assess the effects of helicopter activity on approximately 18 000 molting Pacific black brant (Branta bernicla nigricans) near Teshekpuk Lake, Alaska. Bell 206 and Bell 412 helicopters were simulated flying across the molting grounds along six flight...

Full description

Bibliographic Details
Published in:ARCTIC
Main Author: Miller, Mark W.
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:English
Published: The Arctic Institute of North America 1994
Subjects:
Online Access:https://journalhosting.ucalgary.ca/index.php/arctic/article/view/64362
Description
Summary:I used a previously described simulation model to assess the effects of helicopter activity on approximately 18 000 molting Pacific black brant (Branta bernicla nigricans) near Teshekpuk Lake, Alaska. Bell 206 and Bell 412 helicopters were simulated flying across the molting grounds along six flight lines at various altitudes and frequencies between two airfields. The model determined the behavioral and energetic responses of every bird encountered by the aircraft during an overflight, then calculated the weight of these birds at the end of wing molt. Body condition of the brant, reflected in weight loss, was used to quantify the impact of helicopter disturbance. The number of birds in each of five risk categories was determined for each route, altitude, helicopter type, and overflight frequency. Flight lines and overflight patterns that minimized disturbance to the molting population were identified. Slightly altering the direct route between the two airfields resulted in up to 91% fewer birds experiencing heavy weight loss. Flying either helicopter type around the southern edge of the molting grounds caused the least disturbance; flying parallel to the coast, 1.6 km inland, caused the most. The Bell 412 caused up to 15% more weight loss than did the smaller helicopter. Weight loss along a given flight line can be reduced by 1) flying at altitudes greater than 1065 m altitude, 2) flying only when most brant are in their second week of molt, 3) minimizing flight frequency, and 4) avoiding use of the larger Bell 412 when possible.Key words: brant, human disturbance, aircraft, Arctic Coastal Plain, simulation model, feather molt On s'est servi d'un modèle de simulation décrit précédemment pour évaluer les répercussions de l'activité liée à l'utilisation d'un hélicoptère sur environ 18 000 bernaches noires (Branta bernicla nigricans) en période de mue près de Teshekpuk Lake en Alaska. On a simulé le vol d'hélicoptères Bell 206 et Bell 412 au-dessus des zones de mue le long de six trajectoires de vol à différentes altitudes et fréquences entre deux terrains d'aviation. Le modèle a déterminé les réactions comportementales et énergétiques de chaque oiseau rencontré par l'appareil durant un survol, puis a calculé le poids de ces oiseaux à la fin de la mue des ailes. On a utilisé l'état du corps de la bernache, reflété par la perte de poids, afin de quantifier les effets des perturbations causées par l'hélicoptère. Dans chacune des cinq catégories à risque, on a déterminé le nombre d'oiseaux pour chaque route, altitude, type d'hélicoptère et fréquence de survol. On a identifié les trajectoires de vol et les schémas de survol qui minimisaient les perturbations pour la population en période de mue. Une légère modification au trajet direct entre les deux terrains d'aviation a eu pour résultat que 91 p. cent moins d'oiseaux ont subi une importante perte de poids. Le survol de l'un ou l'autre des types d'hélicoptère dans la périphérie méridionale des aires de mue a produit le moins de perturbation; le survol parallèle à la côte, à 1,6 km à l'intérieur des terres en a causé le plus. Le Bell 412 a provoqué jusqu'à 15 p. cent de plus de perte de poids que l'hélicoptère plus petit. On peut réduire la perte de poids le long d'un trajet de vol donné en 1) volant à plus de 1065 m d'altitude, 2) en ne volant que lorsque la plupart des bernaches sont dans leur deuxième semaine de mue, 3) en minimisant la fréquence des vols et 4) en évitant d'utiliser le plus gros hélicoptère Bell 412 lorsque c'est possible.Mots clés: bernache cravant, perturbation humaine, aéronef, plaine côtière arctique, modèle de simulation, mue des plumes