On the Validation of Satellite-Derived Sea Ice Surface Temperature

The surface temperature of sea ice controls the rate of ice growth and heat exchange between the ocean and the atmosphere. An algorithm for the satellite retrieval of ice surface temperature has recently been published, but due to the lack of validation data has not been extensively tested. In this...

Full description

Bibliographic Details
Published in:ARCTIC
Main Authors: Key, J., Maslanik, J.A., Papakyriakou, T., Serreze, M.C., Schweiger, A.J.
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:English
Published: The Arctic Institute of North America 1994
Subjects:
Online Access:https://journalhosting.ucalgary.ca/index.php/arctic/article/view/64353
Description
Summary:The surface temperature of sea ice controls the rate of ice growth and heat exchange between the ocean and the atmosphere. An algorithm for the satellite retrieval of ice surface temperature has recently been published, but due to the lack of validation data has not been extensively tested. In this paper, data from a recent Arctic field experiment is used in an attempt to validate that algorithm. While the procedure is, in principle, straightforward, we demonstrate that validation is complicated by a variety of factors, including incorrectly assumed atmospheric conditions, undetected clouds in the satellite data, spatial and temporal variability in the surface temperature field, and surface and satellite measurement errors. Comparisons between surface temperatures determined from upwelling broadband longwave radiation, spatial measurements of narrow-band radiation, thermocouples buried just below the snow surface, and narrow-band satellite data show differences of 1 to 13 degrees C. The range in these independent measurements indicates the need for specially designed validation experiments utilizing narrow-band radiometers on aircraft to obtain broad spatial coverage.Key words: ice surface temperature, Arctic climate, sea ice, AVHRR La température de la surface de la glace de mer contrôle le taux de croissance de la glace et les échanges thermiques entre l'océan et l'atmosphère. Un algorithme d'extraction par satellite de la température de la surface de la glace a récemment été publié, mais n'a pu être mis à l'essai sur une grande échelle, en raison du manque de données de validation. On tente, dans cet article, de valider cet algorithme à l'aide de données provenant d'une expérience de terrain menée récemment dans l'Arctique. Si la procédure est, en principe, simple, on démontre que divers facteurs viennent compliquer cette validation, dont une évaluation incorrecte des conditions atmosphériques, la présence de nuages non détectés dans les données obtenues par satellite, une variabilité spatiale et temporelle dans la température de surface de l'aire expérimentale, et des erreurs dans les mesures prises sur le terrain même et par satellite. Des comparaisons entre les températures de surface déterminées à partir du rayonnement ascendant des ondes longues à large bande, des mesures spatiales du rayonnement à bande étroite, des thermocouples placés juste sous la surface de la neige et des données de satellite dans la bande étroite révèlent des différences allant de 1 à 3 °C. La différence qui existe dans ces mesures prises indépendamment montre bien la nécessité de mettre sur pied des expériences de validation conçues à des fins spécifiques, qui utilisent des radiomètres à bande étroite sur les avions en vue d'obtenir une grande couverture spatiale.Mots clés: température de la surface de la glace, climat de l’Arctique, glace de mer, radiomètre perfectionné à très haute résolution