Marine Birds in the Marginal Ice Zone of the Barents Sea in Late Winter and Spring

We recorded the distribution and abundance of marine birds in the northern Barents Sea from 27 February to 8 March 1987 and from 20 to 31 May 1988. Birds were more abundant in waters associated with pack ice than in open water away from pack ice. Within the pack ice, thick-billed murres (Uria lomvia...

Full description

Bibliographic Details
Published in:ARCTIC
Main Authors: Hunt, George L., Bakken, Vidar, Mehlum, Fridtjof
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:English
Published: The Arctic Institute of North America 1996
Subjects:
Online Access:https://journalhosting.ucalgary.ca/index.php/arctic/article/view/64238
Description
Summary:We recorded the distribution and abundance of marine birds in the northern Barents Sea from 27 February to 8 March 1987 and from 20 to 31 May 1988. Birds were more abundant in waters associated with pack ice than in open water away from pack ice. Within the pack ice, thick-billed murres (Uria lomvia) were the most commonly encountered birds in both periods. Murre densities in the pack ice north of the zone proximate to the ice edge were positively correlated with distance of birds present. In spring, we found more birds along a well-defined ice edge than were present either in open water or in leads in the pack ice within 5 nautical miles of the ice edge. Transects along the ice edge revealed little correlation in abundance between species, or within species when coverage was repeated during the same day. We conclude that the birds showed considerable specificity of habitat choice within the habitat divisions that we recognized and that avian patches were of short duration. We need information on the distribution, abundance and movements of prey patches if we are to understand the changing distribution patterns of the birds. Du 27 février au 8 mars 1987 et du 20 au 31 mai 1988, on a procédé à un relevé de la distribution et de l'abondance des oiseaux marins dans la partie septentrionale de la mer de Barents. Les oiseaux étaient plus abondants dans les eaux associées à la banquise que dans l'eau libre située loin de la banquise. La marmette de Brünnich (Uria lomvia) est l'oiseau que l'on retrouvait le plus souvent dans le périmètre de la banquise au cours des deux périodes de l'étude. La densité de marmettes sur la banquise, au nord de la zone proche de la lisière de glace, était corrélée de façon positive avec l'éloignement de la lisière de glace. Les grands chenaux étaient plus fréquemment occupés par les brunettes que les petits chenaux, et les oiseaux y étaient présents en plus grand nombre. Au printemps, on trouvait plus d'oiseaux le long d'une lisière de glace bien définie qu'on en trouvait soit dans l'eau libre, soit dans des chenaux présents dans la banquise à moins de cinq milles marins de la lisière de glace. Des transects longeant la lisière de glace n'ont révélé qu'une faible corrélation entre l'abondance des diverses espèces, ou au sein d'une même espèce lorsque le relevé était répété au cours de la même journée. On en conclut que les oiseaux manifestaient une grande spécificité dans le choix de leur habitat au sein des divisions de l'habitat établies par nous et que les regroupements aviens étaient de courte durée. Si l'on veut comprendre l'évolution des schémas de distribution des oiseaux, on doit avoir plus de renseignements sur la distribution, l'abondance et les mouvements des regroupements de proies.