Breeding Biology of Steller's Eiders (Polysticta stelleri) near Barrow, Alaska, 1991–99

The breeding biology of Steller's eiders (Polysticta stelleri) near Barrow, Alaska, was studied from 1991 to 1999. The number of nests found per year ranged from 0 to 78. Mean clutch size was 5.4 (SD = 1.6, n = 51), incubation period was 24 days, and Mayfield nest success ranged from 0 to 35%....

Full description

Bibliographic Details
Published in:ARCTIC
Main Authors: Quakenbush, Lori, Suydam, Robert, Obritschkewitsch, Tim, Deering, Michele
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:English
Published: The Arctic Institute of North America 2004
Subjects:
Online Access:https://journalhosting.ucalgary.ca/index.php/arctic/article/view/63553
Description
Summary:The breeding biology of Steller's eiders (Polysticta stelleri) near Barrow, Alaska, was studied from 1991 to 1999. The number of nests found per year ranged from 0 to 78. Mean clutch size was 5.4 (SD = 1.6, n = 51), incubation period was 24 days, and Mayfield nest success ranged from 0 to 35%. Egg survival was 24% overall (n = 451). Most nests were found on the rims of low-centered polygons near ponds with emergent vegetation. Marked broods remained within 700 m of their nest sites, and duckling survival was low. Steller's eiders nested in five of the nine years studied, corresponding with years of high lemming density and nesting pomarine jaegers (Stercorarius pomarinus) and snowy owls (Bubo scandiacus). Steller's eiders may choose to nest only in years with abundant lemmings for two reasons: first, abundant lemmings provide an alternative prey source for foxes and other predators of eiders; second, jaegers and owls defending their own nests may inadvertently provide protection to eiders nesting nearby. De 1991 à 1999, on a étudié la biologie de reproduction de l'eider de Steller (Polysticta stelleri) près de Barrow, en Alaska. Le nombre de nids trouvés annuellement allait de 0 à 78. La taille moyenne de la couvée était de 5,4 (écart type = 1,6, n = 51), la période d'incubation était de 24 jours et le succès de la couvée calculé selon la méthode de Mayfield allait de 0 à 35%. La survie des œufs était dans l'ensemble de 24% (n = 451). La plupart des nids étaient situés sur le bord de polygones concaves près d'étangs avec une végétation émergente. La progéniture marquée restait dans les 700 m du site du nid, et la survie des canetons était faible. L'eider de Steller a niché cinq ans sur les neuf de l'étude, soit ceux correspondant aux années où il y avait une forte densité de lemmings, ainsi que de nids de labbes pomarins (Stercorarius pomarinus) et de harfangs des neiges (Bubo scandiacus). Il se pourrait que l'eider de Steller choisisse de ne se reproduire que durant les années d'abondance de lemmings pour deux raisons: la première, c'est qu'une abondance de lemmings offre une source alternative de proies pour les renards et d'autres prédateurs de l'eider; la deuxième, c'est que les labbes pomarins et les harfangs qui défendent leurs propres nids pourraient, involontairement, offrir une protection aux eiders qui nichent à proximité.