Allocating Harvests among Polar Bear Stocks in the Beaufort Sea

Recognition that polar bears are shared by hunters in Canada and Alaska prompted development of the “Polar Bear Management Agreement for the Southern Beaufort Sea.” Under this Agreement, the harvest of polar bears from the southern Beaufort Sea (SBS) is shared between Inupiat hunters of Alaska and I...

Full description

Bibliographic Details
Published in:ARCTIC
Main Authors: Amstrup, S.C., Durner, G.M., Stirling, I., McDonald, T.L.
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:English
Published: The Arctic Institute of North America 2010
Subjects:
Online Access:https://journalhosting.ucalgary.ca/index.php/arctic/article/view/63487
Description
Summary:Recognition that polar bears are shared by hunters in Canada and Alaska prompted development of the “Polar Bear Management Agreement for the Southern Beaufort Sea.” Under this Agreement, the harvest of polar bears from the southern Beaufort Sea (SBS) is shared between Inupiat hunters of Alaska and Inuvialuit hunters of Canada. Quotas for each jurisdiction are to be reviewed annually in light of the best available scientific information. Ideal implementation of the Agreement has been hampered by the inability to quantify geographic overlap among bears from adjacent populations. We applied new analytical procedures to a more extensive radiotelemetry data set than has previously been available to quantify that overlap and thereby improve the efficacy of the Agreement. We constructed a grid over the eastern Chukchi Sea and Beaufort Sea and used twodimensional kernel smoothing to assign probabilities to the distributions of all instrumented bears. A cluster analysis of radio relocation data identified three relatively discrete groups or “populations” of polar bears: the SBS, Chukchi Sea (CS), and northern Beaufort Sea (NBS) populations. With kernel smoothing, we calculated relative probabilities of occurrence for individual members of each population in each cell of our grid. We estimated the uncertainty in probabilities by bootstrapping. Availability of polar bears from each population varied geographically. Near Barrow, Alaska, 50% of harvested bears are from the CS population and 50% from the SBS population. Nearly 99% of the bears taken by Kaktovik hunters are from the SBS. At Tuktoyaktuk, Northwest Territories, Canada, 50% are from the SBS and 50% from the NBS population. We displayed the occurrence of bears from each population as probabilities for each cell in our grid and as maps with contour lines delineating changes in relative probability. This new analytical approach will greatly improve the accuracy of allocating harvest quotas among hunting communities and jurisdictions while assuring that harvests remain within the bounds of sustainable yield. La reconnaissance du fait que l’ours polaire est chassé tant au Canada qu’en Alaska a initié la création de l’«Accord de gestion de l’ours polaire dans le sud de la mer de Beaufort». En vertu de cet accord, le prélèvement de l’ours polaire du sud de la mer de Beaufort est partagé entre les chasseurs inupiat de l’Alaska et les chasseurs inuvialuit du Canada. Les quotas pour chaque territoire de compétence doivent être révisés sur une base annuelle à la lumière de la meilleure information scientifique disponible. Une parfaite mise en oeuvre de l’accord a été rendue difficile en raison de l’impossibilité de quantifier le chevauchement géographique des populations d’ours voisines. En vue de quantifier ce chevauchement et d’améliorer ainsi l’efficacité de l’accord, on a appliqué de nouvelles procédures analytiques à un plus vaste ensemble de données télémétriques qu’on n’avait pu le faire auparavant. On a construit une grille recouvrant l’est de la mer des Tchouktches et la mer de Beaufort, et on a utilisé une méthode de lissage bidimensionnel par noyaux afin d’assigner des probabilités aux distributions de tous les ours appareillés. Une analyse de groupage des données de déplacement obtenues par radiocommunication a révélé trois groupes relativement distincts ou «populations» d’ours polaires, soit celles du sud de la mer de Beaufort (SMB), de la mer des Tchouktches (MT) et du nord de la mer de Beaufort (NMB). En recourant à la méthode de lissage par noyaux, on a calculé les probabilités relatives de présence des membres individuels de chaque population dans chacune des mailles de notre grille. On a évalué l’incertitude dans les probabilités par la méthode de bootstrapping. La disponibilité d’ours polaires au sein de chacune des populations variait géographiquement. Près de Barrow en Alaska, 50 % des ours prélevés viennent de la population MT, et 50 %, de la population SMB. Près de 99 % des ours abattus par les chasseurs de Kaktovik proviennent de la SMB. À Tuktoyaktuk, dans les Territoires du Nord-Ouest au Canada, 50 % des prises proviennent de la population SMB et 50 % de celle de la NMB. On a représenté la présence des ours de chaque population sous la forme de probabilités pour chaque maille de notre grille et sous celle de cartes avec courbes de niveau délimitant les changements dans la probabilité relative. Cette nouvelle approche analytique va grandement améliorer la justesse de l’attribution des quotas de prélèvement parmi les communautés de chasseurs et les territoires dont ils relèvent, tout en garantissant que les prélèvements restent dans les limites d’un rendement durable.