Summary: | Cette note ne s’inscrit pas dans une quelconque et froide « rubrique nécrologique » puisqu’avant d’être une collègue, Michèle Therrien était une amie. Nous nous sommes rencontrés au début des années 1970 dans les locaux du Centre d’Études Arctiques à Paris, où nous étions étudiants. Elle venait du Québec, dont elle avait toujours un peu gardé l’accent et d’où elle tenait aussi le surnom de Kateri (une « sainte » iroquoise), que lui avait affectueusement donné son mari Jean-Pierre Farrell qui . This note is not part of any cold “necrological section” since before being a colleague Michèle Therrien was a friend. We met in the early 1970s at the Centre d’Etudes Arctiques in Paris, where we were students. She came from Quebec, where she had always kept a little emphasis and where she also held Kateri’s nickname (an iroquoise ‘saint’), which she had emotionally given her husband Jean-Pierre Farrell, who.
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