| Summary: | Un mouvement contradictoire semble gouverner les voyages illustrés dans le Nord écrits par des Suédois. D’Olaus Magnus, qui voyagea jusqu’à Torneå en 1518-1519, en passant par Olof Rudbeck le jeune, parti en Sápmi en 1695, jusqu’à Carl von Linné en 1732, la montée vers le Nord est simultanément associée à l’idée que le voyage implique une descente. Les récits décrivent la hauteur des montagnes et l’étendue des plaines, tout en étant ponctués d’un imaginaire de la catabase, qu’il s’agisse de d. A contradictory movement seems to govern travel depicted in the North by Swedes. From Olaus Magnus, who travelled to Torneå in 1518-1519, via Olof Rudbeck the young, who left in Sápmi in 1695, to Carl von Linné in 1732, the rise to the north is simultaneously associated with the idea that the journey involves a descent. The stories describe the height of the mountains and the extent of the plains, while being punctuated by an imaginary catabase, such as.
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