Summary: | This article analise the case of Marisol : the objective is to undestand how events of institutional violence causes distress and biological alterations in the body, related with a traumatic event, occurred 40 years later, during the dictatorship of Pinochet. An organic affection in the real body whose inscription was in terms of frecuence, that allows to identify the relational problem. The relation between trauma and impasse is pointed. The trauma in terms of an alteration of identity of the ego and terror. Themes like relation, space and rostrum are elaborated in terms of Sami-Ali’s works. The relation between terror and the familiar rostrum that transforms in a strange one. The trouble of denegative pacts in totalitarian situations and in nowadays institutions in Mexico. The concept of post-truth is not explicitely mentioned, but is something implicit in the violent acts where the lie is the base of the institutional violence. Cet article analyse le cas de Marisol : il s’agit de comprendre comment un événement de violence institutionnelle cause une altération du corps réel, à partir d’un événement traumatique antérieur, ayant eu lieu quarante auparavant, tel que le fut la dictature de Pinochet. Une affection organique inscrite dans le corps réel en termes de fréquence permet d’identifier le problème relationnel. La relation est travaillée entre traumatisme et impasse, et le traumatisme en termes d’altération identitaire de l’ego et de la terreur. Les thèmes de la relation, de l’espace et du visage sont travaillés selon les travaux de Sami-Ali. La relation entre la terreur et le visage familier qui devient sinistre. Le problème des pactes dénégatifs en situations totalitaires, comme les dictatures d’Amérique du Sud et dans des institutions actuellement au Mexique. Le concept de pos-vérité, bien qu’il ne soit pas mentionné explicitement, est implicite dans les actes de violence où le mensonge est le vecteur de la violence institutionnelle.
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