Antarctic ozone seasonal variation analysis in the lower stratosphere from Lidar and Sounding measurements at Dumont d'Urville

• Published in: Comptes Rendus de l'Académie des Sciences - Series IIA - Earth and Planetary Science
• Main Authors: Bergeret, Valérie, Bekki, Slimane, Godin, Sophie, Mégie, Gérard
• Other Authors: Service d'aéronomie (SA), Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
• Format: Article in Journal/Newspaper
• Language: French
• Published: HAL CCSD 1998
• Subjects: [PHYS.PHYS.PHYS-AO-PH]Physics [physics]/Physics [physics]/Atmospheric and Oceanic Physics [physics.ao-ph]; [SDU.OCEAN]Sciences of the Universe [physics]/Ocean; Atmosphere; Antarctic; The Antarctic; Austral; Dumont d'Urville; Dumont-d'Urville; Antarc*; Antarctique*
• Online Access: https://hal-insu.archives-ouvertes.fr/insu-02541190; https://doi.org/10.1016/S1251-8050(98)80239-5

International audience Average subsidence in the Antarctic lower stratosphere for the austral fall of 1994 and 1996 and ozone destruction rates during the spring are derived from ozone measurements made at Dumont d'Urville (140. IE, 66.4S), ne comparison with POAM II data suggests that ozone destruction within the vortex starts earlier on the edge than in the centre. The vortex sampling in 1996 allows us to study the vortex confinement and to confirm its role of isolating barrier above 400 K. La subsidence moyenne dans la basse stratosphère en Antarctique pour l'automne austral 1994 et 1996 et les taux de destruction de l'ozone durant le printemps sont calculés à partir des mesures d'ozone réalisées à la station de Dumont d'Urville (140.1E, 66.4S). La comparaison avec les données Poam II suggère que la destruction d'ozone à l'intérieur du vortex commence plus tôt en bordure qu'au centre. L'échantillonnage du vortex en octobre 1996 permet d'étudier le confinement du vortex et de confir- mer son rôle de barrière isolante au-dessus de 400 K.