Les Béothuks : étaient-ils nombreux ? (1841)
En parlant de la population répandue sur les cotes de Terre-Neuve, je n’ai rien dit des sauvages, comme on appelle quelques Indiens, Mic-macs et Montagnards, les premiers originaires du cap Breton, les autres du Labrador, vivant misérablement de la pêche et de la vente de quelques fourrures qu’ils v...
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ftopenedition:oai:books.openedition.org:pur/44209 2023-05-15T18:31:58+02:00 Les Béothuks : étaient-ils nombreux ? (1841) Jouan, Henri 2018-01-17 http://books.openedition.org/pur/44209 fr fre Presses universitaires de Rennes urn:doi:10.4000/books.pur.44209 http://books.openedition.org/pur/44209 urn:eisbn:9782753565746 urn:isbn:9782868479662 info:eu-repo/semantics/openAccess info:eu-repo/semantics/bookPart chapter 2018 ftopenedition https://doi.org/10.4000/books.pur.44209 2018-01-21T01:06:03Z En parlant de la population répandue sur les cotes de Terre-Neuve, je n’ai rien dit des sauvages, comme on appelle quelques Indiens, Mic-macs et Montagnards, les premiers originaires du cap Breton, les autres du Labrador, vivant misérablement de la pêche et de la vente de quelques fourrures qu’ils vont chercher assez loin dans l’intérieur. Une quarantaine de Mic-macs demeuraient à St-Georges à l’époque où j’y étais : j’ai eu l’occasion de voir les huttes où ils vivaient dans la saleté la plus. Book Part Terre-Neuve OpenEdition 95 96 |
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