Essai: Is Arctic Palynology a “Blunt Instrument”?

For nearly forty years, palynologists and other scientists studying the Quaternary have claimed that palynology, when applied in the Arctic, is a “blunt instrument” for analysing environmental change in this region. In this essay, the author explains why this expression should be laid to rest. Limit...

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Bibliographic Details
Published in:Géographie physique et Quaternaire
Main Author: Gajewski, Konrad
Format: Text
Language:English
Published: Les Presses de l'Université de Montréal 2006
Subjects:
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spelling fterudit:oai:erudit.org:016822ar 2023-05-15T14:41:59+02:00 Essai: Is Arctic Palynology a “Blunt Instrument”? Gajewski, Konrad 2006 http://id.erudit.org/iderudit/016822ar https://doi.org/10.7202/016822ar en eng Les Presses de l'Université de Montréal Érudit Géographie physique et Quaternaire vol. 60 no. 2 (2006) http://id.erudit.org/iderudit/016822ar doi:10.7202/016822ar Tous droits réservés © Les Presses de l'Université de Montréal, 2007 text 2006 fterudit https://doi.org/10.7202/016822ar 2022-09-24T23:13:09Z For nearly forty years, palynologists and other scientists studying the Quaternary have claimed that palynology, when applied in the Arctic, is a “blunt instrument” for analysing environmental change in this region. In this essay, the author explains why this expression should be laid to rest. Limits to palynological resolution are spatial, temporal and taxonomic. These are discussed and examples are shown where both the temporal and spatial resolution of pollen analyses is far higher than previously thought possible. The supposed “bluntness” of Arctic palynology is due to the way this tool has been applied in Arctic environments rather than inherent limits of palynology in Arctic ecosystems. Depuis une quarantaine d’années, de nombreux palynologues et d’autres chercheurs étudiant le quaternaire affirment que la palynologie, lorsque appliquée à l’arctique, est un « instrument grossier » pour l’étude des changements environnementaux dans cette région. Dans cet essai, l’auteur explique pourquoi cette expression devrait être mise de côté. Les limites de la résolution palynologique sont spatiales, temporelles et taxonomiques. Celles-ci sont discutées et des exemples sont montrés, où la résolution temporelle et spatiale des analyses polliniques s’avère bien plus élevée qu’on le croyait. Les limites de la palynologie arctique sont dues à la manière dont cet outil est utilisé dans les environnements arctiques plutôt qu’aux propriétés inhérentes de la palynologie appliquée aux écosystèmes arctiques. Text Arctic Arctique* Érudit.org (Université Montréal) Arctic Géographie physique et Quaternaire 60 2 95 102
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