ARCTIC Altitudinal Movements and Summer Habitat Preferences of Woodland Caribou in the Kluane

• Main Authors: Sebastian M. Oosenbrug, John B. Theberge
• Other Authors: The Pennsylvania State University CiteSeerX Archives
• Format: Text
• Language: English
• Subjects: Arctic; toundra; Tundra
• Online Access: http://citeseerx.ist.psu.edu/viewdoc/summary?doi=10.1.1.572.6111; http://pubs.aina.ucalgary.ca/arctic/Arctic33-1-59.pdf

ABSTRACT. The altitudinal movements, preferred topography and plant communities of 150 to 200 woodland caribou (Rungifer turandus caribou) were recorded for two summers. Nine subalpine or alpine tundra communities constituting their major summer range were quantitatively described. Caribou calved in shrub communities between 1300 and 1450 m, moving upward as the summer progressed. Stags and associated juveniles preferred higher elevations than did other groupings. Caribou disproportionately chose north-facing slopes of less than 20". They fed in birch-sedge meadow and sedge meadow communities nearly twice as much as expected from the areal extent of the communities, and also disproportionately chose other communities with high sedge components. The presence of sedges was the predominant vegetational characteristic chosen regardless of elevations, with only minor differences between caribou sex and age groupings. RfiSUMe. Pendant deux étés, on a observé les migrations, déterminé les emplacements et la vegetation qu'appreciaient de préference un troupeau de 150 à 200 caribous, vivant en terrain boisé. On répertoriait neuf familles de toundra alpine à subalpine, constituant leur domaine d'été. Les caribous velaient dans des familles d'arbrissaux entre 1300 et 1450 métres et migraient sur les hauteurs, au fur et à mesure que l'été avancait. Les males et leurs jeunes préferaient des hauteurs plus elevées que les autre groupes. Les caribous avaient une pdference pour les talus orientés au Nord, avec une pente inferieure à 20". Ils se nourrissaient dans des prairies de pousses de bouleaux et dans une vegetation de joncs de prairies, deux fois plus souvent que l'on s'y attendait d'après leurs extension dans la région; ils choisissaient aussi préferentiellement d'autres vegetations, riches en joncs. La presence des joncs était le facteur vegetatif primordial qu'ils choisissaient, quelque soit l'altitude; il n'y avait que quelques differences mineures suivant le sexe et I'age. Traduit par Alain de Vendigies, Aquitaine ...