ARCTIC Fur Trappers in the Northwest Territories: An Econometric Analysis of the Factors Influencing Participation

• Main Authors: Jack C. Stabler, Gail Tolley, Eric C. Howe
• Other Authors: The Pennsylvania State University CiteSeerX Archives
• Format: Text
• Language: English
• Published: 1989
• Subjects: Arctic; Northwest Territories; Territoires du Nord-Ouest
• Online Access: http://citeseerx.ist.psu.edu/viewdoc/summary?doi=10.1.1.538.7765; http://pubs.aina.ucalgary.ca/arctic/arctic43-1-1.pdf

ABSTRACT. Commercial fur trapping, once the primary economic activity of the aboriginal inhabitants of the Northwest Territories, now accounts for only a small fraction of the income received by native people. Many adult native males do continue to engage in commercial trapping, nevertheless, though with varying degrees of commitment. A review of the recent literature reveals a wide variety of suggested motivations for this continuing involvement. Through the use of econometric techniques we are able to analyze the motivations of two distinct sub-groups of trappers. One group, accounting for about 15 % of those who trap, has a substantial commitment to the activity and is motivated primarily b the income-earning potential of fur sales. The second group, which includes approximately 85 % of the participants, consists of those whose participation is best explained by the lack of alternative employment opportunities. Key words: Northwest Territories, fur trappers, traditional economy RÉSUMÉ. Le piégeage commercial des animaux à fourrure, qui était jadis la principale activité des aborigènes des Territoires du Nord-Ouest, ne compte maintenant que pour une fraction minime de leur revenu. Beaucoup d’aborigènesadultes de sexe masculin continuent cependant à pratiquer le piégeage commercial, quoiqu’à des degrés d’intensité divers. Une revue des publications récentes montre que des motivations très diverses ont été suggérées pour la poursuite de cette activité. Grâce à l’utilisation de techniques économétriques, on peut analyser les motivations de deux SOUS-groupes distincts de trappeurs. L‘un, qui comprend environ 15 % de tous les trappeurs, s’engage de façon relativement sérieuse dans cette activité et il est surtout motivé par le potentiel de revenu que génère la vente des fourrures. Dans le deuxième groupe, qui comprend environ 85 % de tous les trappeurs, on retrouve ceux dont la participation pourrait s’expliquer par le simple fait qu’ils ne peuvent trouver un autre emploi.